L’Insee fait Ă©tat d’un ralentissement de l’inflation en septembre, mais les experts restent attentifs Ă un risque de dĂ©flation.
Publié
Temps de lecture : 1 min
Les prix ont augmentĂ© de 1,2% sur un an en France en septembre, rapporte l’Insee dans une première estimation(Nouvelle fenĂŞtre) publiĂ© vendredi 27 septembre. C’est aretur au plus bas niveau de 2021. Franceinfo vous explique pourquoi c’est Ă la fois une bonne et une mauvaise nouvelle.
Cette baisse de l’inflation permet aux achats alimentaires, et plus généralement à tous les produits agroalimentaires, de repartir à la hausse. En effet, le mois dernier a été marqué par un point de consommation supplémentaire, ce qui prouve que les consommateurs desserrent enfin la ceinture. La conséquence de la stabilisation des prix, alors qu’en période d’inflation on pourrait assister à des augmentations de prix allant jusqu’à 16 %.
En revanche, les Français sont rĂ©ticents Ă l’Ă©gard des autres biens de consommation, notamment les biens durables pour lesquels on a observĂ© une baisse de 0,5% en juillet. La tendance est Ă©galement Ă la baisse pour les achats de voitures, d’Ă©quipements de la maison, d’Ă©lectromĂ©nager, d’ordinateurs, ou encore de meubles, avec un point et demi de moins.
Face Ă cette tendance, les prix ont baissĂ© de 0,3% ce mois-ci, une baisse lĂ©gère et imperceptible pour le consommateur. Mais les experts s’inquiètent car une inflation aussi faible est le signe d’une activitĂ© Ă©conomique atone et d’une consommation chancelante, ce qui pourrait ĂŞtre une mauvaise nouvelle pour l’Ă©conomie du pays. Le pire serait la dĂ©flation ou une forte baisse des prix. C’est ce que les experts surveillent de près car le bon chiffre d’inflation, l’Ă©quivalent de 37°C pour le corps humain, se situe autour de 2 %. Pas plus, mais pas moins.
L’Insee fait Ă©tat d’un ralentissement de l’inflation en septembre, mais les experts restent attentifs Ă un risque de dĂ©flation.
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Les prix ont augmentĂ© de 1,2% sur un an en France en septembre, rapporte l’Insee dans une première estimation(Nouvelle fenĂŞtre) publiĂ© vendredi 27 septembre. C’est aretur au plus bas niveau de 2021. Franceinfo vous explique pourquoi c’est Ă la fois une bonne et une mauvaise nouvelle.
Cette baisse de l’inflation permet aux achats alimentaires, et plus généralement à tous les produits agroalimentaires, de repartir à la hausse. En effet, le mois dernier a été marqué par un point de consommation supplémentaire, ce qui prouve que les consommateurs desserrent enfin la ceinture. La conséquence de la stabilisation des prix, alors qu’en période d’inflation on pourrait assister à des augmentations de prix allant jusqu’à 16 %.
En revanche, les Français sont rĂ©ticents Ă l’Ă©gard des autres biens de consommation, notamment les biens durables pour lesquels on a observĂ© une baisse de 0,5% en juillet. La tendance est Ă©galement Ă la baisse pour les achats de voitures, d’Ă©quipements de la maison, d’Ă©lectromĂ©nager, d’ordinateurs, ou encore de meubles, avec un point et demi de moins.
Face Ă cette tendance, les prix ont baissĂ© de 0,3% ce mois-ci, une baisse lĂ©gère et imperceptible pour le consommateur. Mais les experts s’inquiètent car une inflation aussi faible est le signe d’une activitĂ© Ă©conomique atone et d’une consommation chancelante, ce qui pourrait ĂŞtre une mauvaise nouvelle pour l’Ă©conomie du pays. Le pire serait la dĂ©flation ou une forte baisse des prix. C’est ce que les experts surveillent de près car le bon chiffre d’inflation, l’Ă©quivalent de 37°C pour le corps humain, se situe autour de 2 %. Pas plus, mais pas moins.