Les artistes de musique populaire parlent souvent des espions et de leurs actions secrètes, mais c’est plus souvent avec fantaisie qu’avec une grande précision historique.
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On a rarement eu l’impression que la réalité du travail des services secrets dépasse les scénarios des films de James Bond, avec l’opération de piégeage de milliers d’appareils de communication électroniques emportés par les combattants du Hezbollah.
Une opération qui, très certainement, entrera dans la légende du Mossad, le service israélien de renseignement et d’opérations spéciales. Et c’est quand on écoute du rap qu’on en entend parler – ici entre 2004 et 2016. C’est la menace d’être observé de manière indiscrète à la Fonky Family, c’est une réalité géopolitique d’affrontement avec un groupe terroriste à T.Killa en featuring à Lino, c’est une menace parmi d’autres dans un délire quasi psychiatrique de Despo Rutti.
Dans le premier épisode de Ces chansons qui font l’actualité ce week-end, vous entendez des extraits de :
John Barry Seven et orchestre, Thème James Bond, 1962
Famille Fonky, Un oeil sur nous, 2004
Lino exploit. T. Killa, Ne m’appelle plus rappeur, 2014
Despo Rutti, Abba, 2016
Viktor Lazlo, Mata Hari, 1985
Caracol, Celle que les hommes pleurent (Mata Hari), 2008
Pierre Bernac (Poulenc au piano), L’espion, 1961
Joseph Edgar, Espion russe, 2014
Louis Chedid, Zap-zap, 1990
Alain Souchon, Billy m’aime, 1983
Eddie Mitchell, Choo choo boogie faux espion, 1975
Zazie, James Bond et moi, 2005
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