Pour la troisième année consécutive, l’UFC déplace une soirée de combat en France. 16 000 billets ont été vendus pour cet événement qui s’apprête à faire de Paris un rendez-vous incontournable du MMA.
Publié
Temps de lecture : 1 min
Pour les fans de MMA, c’est tout simplement l’événement de l’année : l’UFC Paris ce samedi 28 septembre à l’Accor Arena. L’UFC est l’organisation d’arts martiaux mixtes la plus puissante au monde et pour la troisième année consécutive, la ligue américaine a décidé de délocaliser une de ses soirées en France où le MMA continue son ascension, quatre ans après sa légalisation.
Il n’aura donc fallu que deux éditions pour que l’UFC Paris acquière un statut convoité, celui d’événement sportif le plus attendu de l’automne en France.
Samedi soir, 14 combats seront au programme avec neuf Français engagés et surtout en point d’orgue du spectacle l’ancien soldat des forces spéciales Benoît Saint-Denis, nouvelle star du MMA français. Tous les ingrédients sont réunis pour un nouveau succès. Une nouvelle fois, la soirée affichera complet avec 16 000 places vendues en quelques minutes seulement. Il ne fait aucun doute que les chiffres déjà stupéfiants de l’année dernière – quatre millions de dollars de recettes de billets – seront au moins égalés.
Surtout, le public français est de plus en plus apprécié et recherché par les organisateurs explique Jean Charles Barès, spécialiste du MMA pour la chaîne Equipe et le groupe Canal+. “Lors du premier événement à Paris, il y avait beaucoup d’attentes, donc il y avait une ambiance qui était absolument exceptionnelle. Je suis allé au Madison Square Garden de New York et ce n’est pas du tout la même ambiance, c’est beaucoup moins fou dans la fin. Paris s’impose comme l’un des grands événements du calendrier de l’UFC. »
Prochaine étape pour Paris : recevoir un CEU numéroté. Soit une soirée avec les très grandes stars et généralement une ceinture à la clé, ce qui est rare en dehors des Etats-Unis. “Mais Paris le mérite”avait déjà estimé Dana White, la toute-puissante patronne de l’organisation américaine.
Pour la troisième année consécutive, l’UFC déplace une soirée de combat en France. 16 000 billets ont été vendus pour cet événement qui s’apprête à faire de Paris un rendez-vous incontournable du MMA.
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Pour les fans de MMA, c’est tout simplement l’événement de l’année : l’UFC Paris ce samedi 28 septembre à l’Accor Arena. L’UFC est l’organisation d’arts martiaux mixtes la plus puissante au monde et pour la troisième année consécutive, la ligue américaine a décidé de délocaliser une de ses soirées en France où le MMA continue son ascension, quatre ans après sa légalisation.
Il n’aura donc fallu que deux éditions pour que l’UFC Paris acquière un statut convoité, celui d’événement sportif le plus attendu de l’automne en France.
Samedi soir, 14 combats seront au programme avec neuf Français engagés et surtout en point d’orgue du spectacle l’ancien soldat des forces spéciales Benoît Saint-Denis, nouvelle star du MMA français. Tous les ingrédients sont réunis pour un nouveau succès. Une nouvelle fois, la soirée affichera complet avec 16 000 places vendues en quelques minutes seulement. Il ne fait aucun doute que les chiffres déjà stupéfiants de l’année dernière – quatre millions de dollars de recettes de billets – seront au moins égalés.
Surtout, le public français est de plus en plus apprécié et recherché par les organisateurs explique Jean Charles Barès, spécialiste du MMA pour la chaîne Equipe et le groupe Canal+. “Lors du premier événement à Paris, il y avait beaucoup d’attentes, donc il y avait une ambiance qui était absolument exceptionnelle. Je suis allé au Madison Square Garden de New York et ce n’est pas du tout la même ambiance, c’est beaucoup moins fou dans la fin. Paris s’impose comme l’un des grands événements du calendrier de l’UFC. »
Prochaine étape pour Paris : recevoir un CEU numéroté. Soit une soirée avec les très grandes stars et généralement une ceinture à la clé, ce qui est rare en dehors des Etats-Unis. “Mais Paris le mérite”avait déjà estimé Dana White, la toute-puissante patronne de l’organisation américaine.