De la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques aux publicités du métro parisien, le visage du nageur – et tout nouveau présentateur de Claquement – Théo Curin est apparu partout ces dernières semaines. Avec une ambition : sensibiliser l’opinion publique aux infections invasives à méningocoques (IIM), qui lui ont coûté ses quatre membres et qui sont encore méconnues du grand public.
« On parle parfois de méningite, mais c’est un abus de langage », confirme Samy Taha, médecin chercheur au Centre national de référence des méningocoques (CNR) de l’Institut Pasteur. Au sein de la prestigieuse fondation parisienne, nous traquons tous les MII, et pas seulement les méningites bactériennes, qui représentent deux tiers des cas (contre un tiers pour les septicémies).
UN…
De la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques aux publicités du métro parisien, le visage du nageur – et tout nouveau présentateur de Claquement – Théo Curin est apparu partout ces dernières semaines. Avec une ambition : sensibiliser l’opinion publique aux infections invasives à méningocoques (IIM), qui lui ont coûté ses quatre membres et qui sont encore méconnues du grand public.
« On parle parfois de méningite, mais c’est un abus de langage », confirme Samy Taha, médecin chercheur au Centre national de référence des méningocoques (CNR) de l’Institut Pasteur. Au sein de la prestigieuse fondation parisienne, nous traquons tous les MII, et pas seulement les méningites bactériennes, qui représentent deux tiers des cas (contre un tiers pour les septicémies).