HAUTS/FLOPS – Le bel hommage à Brice Taton, le grand match de Lucas Perri ou les limites des Lyonnais dans le jeu : retrouvez nos tops et nos flops de la victoire de l’OL à Toulouse dimanche (1-2).
HAUTS
L’hommage des Toulousains à Brice Taton
Il y a 15 ans, le 29 septembre 2009, Brice Taton perdait la vie à l’âge de 28 ans, douze jours après une violente agression à Belgrade lors du match opposant le Partizan au TFC. Un club tout entier lui a rendu hommage dimanche. Tous les joueurs toulousains portaient leur prénom au lieu de leur nom de famille au dos de leur maillot. Avant le coup d’envoi, le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, et le président du TFC, Damien Comolli, ont déposé une gerbe de fleurs devant le tournant sud du Stade qui porte le nom de Brice Taton. Son prénom figurait d’ailleurs sur un immense tifo affiché dans les tribunes. Même les supporters lyonnais ont apporté leur contribution avec une banderole : “Brice, le temps passe, ta mémoire reste.”
Perri, le gardien du temple
Si l’OL repart de la Haute-Garonne avec trois points, c’est en grande partie grâce à Lucas Perri. Malgré une ou deux sorties un peu risquées, le gardien brésilien a frustré les attaquants toulousains. Il a eu la main ferme devant Cristian Casseres (49ee), n’a pas lâché le ballon sur la frappe puissante de Yann Gboho (72ee) et a surtout eu un bon réflexe sur un tir de Denis Genreau dévié par Joshua King (90ee+3). Il ne peut rien contre l’ouverture du score de Gboho (14e).
flops
La faiblesse abyssale de l’OL
Qualifier le jeu de l’Olympique Lyonnais de médiocre implique qu’il y a bien là quelque chose, aussi petit soit-il. C’est déjà flatteur, car les joueurs de Pierre Sage pataugent sur la pelouse du Stadium, limités physiquement et techniquement. Il a fallu attendre le 37e minute pour voir l’un des quatre clichés rhodaniens ce dimanche. L’OL avait déjà marqué grâce à une double déviation de la défense toulousaine sur un centre innocent de Saël Kumbedi (28e).e). Les entrants (Tolisso, Fofana, Cherki, Lacazette) n’ont quasiment rien apporté, sauf Cherki sur le deuxième but. Un bilan bien maigre.
Toulouse a raté de peu
Toulouse a eu le ballon, a attaqué mais n’a pas pu finir. Toujours une passe trop forte, un centre imprécis ou un manque de confiance dans la finition. Carles Martínez Novell a dû s’arracher les cheveux sur son banc, tant ses ouailles ont eu de nombreuses occasions de mettre la tête des Lyonnais sous l’eau. Aron Dönnum n’a pas relevé la tête (25e), Yann Gboho s’engouffrait dans la surface (72ee) et Frank Magri a manqué de réactivité, étant rattrapé par Clinton Mata (63ee). Dominer n’est pas une évidence, les Violets l’ont appris à leurs dépens.
HAUTS/FLOPS – Le bel hommage à Brice Taton, le grand match de Lucas Perri ou les limites des Lyonnais dans le jeu : retrouvez nos tops et nos flops de la victoire de l’OL à Toulouse dimanche (1-2).
HAUTS
L’hommage des Toulousains à Brice Taton
Il y a 15 ans, le 29 septembre 2009, Brice Taton perdait la vie à l’âge de 28 ans, douze jours après une violente agression à Belgrade lors du match opposant le Partizan au TFC. Un club tout entier lui a rendu hommage dimanche. Tous les joueurs toulousains portaient leur prénom au lieu de leur nom de famille au dos de leur maillot. Avant le coup d’envoi, le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, et le président du TFC, Damien Comolli, ont déposé une gerbe de fleurs devant le tournant sud du Stade qui porte le nom de Brice Taton. Son prénom figurait d’ailleurs sur un immense tifo affiché dans les tribunes. Même les supporters lyonnais ont apporté leur contribution avec une banderole : “Brice, le temps passe, ta mémoire reste.”
Perri, le gardien du temple
Si l’OL repart de la Haute-Garonne avec trois points, c’est en grande partie grâce à Lucas Perri. Malgré une ou deux sorties un peu risquées, le gardien brésilien a frustré les attaquants toulousains. Il a eu la main ferme devant Cristian Casseres (49ee), n’a pas lâché le ballon sur la frappe puissante de Yann Gboho (72ee) et a surtout eu un bon réflexe sur un tir de Denis Genreau dévié par Joshua King (90ee+3). Il ne peut rien contre l’ouverture du score de Gboho (14e).
flops
La faiblesse abyssale de l’OL
Qualifier le jeu de l’Olympique Lyonnais de médiocre implique qu’il y a bien là quelque chose, aussi petit soit-il. C’est déjà flatteur, car les joueurs de Pierre Sage pataugent sur la pelouse du Stadium, limités physiquement et techniquement. Il a fallu attendre le 37e minute pour voir l’un des quatre clichés rhodaniens ce dimanche. L’OL avait déjà marqué grâce à une double déviation de la défense toulousaine sur un centre innocent de Saël Kumbedi (28e).e). Les entrants (Tolisso, Fofana, Cherki, Lacazette) n’ont quasiment rien apporté, sauf Cherki sur le deuxième but. Un bilan bien maigre.
Toulouse a raté de peu
Toulouse a eu le ballon, a attaqué mais n’a pas pu finir. Toujours une passe trop forte, un centre imprécis ou un manque de confiance dans la finition. Carles Martínez Novell a dû s’arracher les cheveux sur son banc, tant ses ouailles ont eu de nombreuses occasions de mettre la tête des Lyonnais sous l’eau. Aron Dönnum n’a pas relevé la tête (25e), Yann Gboho s’engouffrait dans la surface (72ee) et Frank Magri a manqué de réactivité, étant rattrapé par Clinton Mata (63ee). Dominer n’est pas une évidence, les Violets l’ont appris à leurs dépens.