L’équipe de France a de bonnes raisons de quitter la Suisse avec un fort sentiment d’amertume. Ayant perdu sa carte majeure, Julian Alaphilippe, après 35 kilomètres, elle a dû se remobiliser très vite pour rester concentrée sur la course.
« Ce fut un coup dur, soupire Thomas Voeckler, marqué et frustré. D’un point de vue sportif et humain, compte tenu de ce qu’il représente dans le groupe. C’était l’atout, il fallait le digérer pour moi et les sept qui restaient. Julian, j’aide les médecins à le mettre sur le dos. Il m’a dit qu’il avait des jambes de feu. Cela fait…
L’équipe de France a de bonnes raisons de quitter la Suisse avec un fort sentiment d’amertume. Ayant perdu sa carte majeure, Julian Alaphilippe, après 35 kilomètres, elle a dû se remobiliser très vite pour rester concentrée sur la course.
« Ce fut un coup dur, soupire Thomas Voeckler, marqué et frustré. D’un point de vue sportif et humain, compte tenu de ce qu’il représente dans le groupe. C’était l’atout, il fallait le digérer pour moi et les sept qui restaient. Julian, j’aide les médecins à le mettre sur le dos. Il m’a dit qu’il avait des jambes de feu. Cela fait…