Ce lundi, la SNCF et Alstom, qui fabriquaient les rames, ont présenté la première rame TGV M à Belfort. Un nouveau train qui s’annonce prometteur pour le rail français.
Publié
Mise à jour
Temps de lecture : 1 min
Le moment de premier TGV en 1981. Une étape symbolique supplémentaire pour le TGV M, « le TGV du futur », aura lieu ce lundi 29 avril. Commandé par la SNCF à Alstom, le premier train au design « InOui », qui circulera dès l’année prochaine sur le La ligne Paris-Lyon-Marseille, sera présentée à Belfort, où Alstom fabrique les motrices.
Ce TGV de 5ème génération – appelé TGV M, pour « modularité » – se veut à la fois plus écologique et surtout plus économique : il devrait ainsi permettre à la SNCF de réaliser des économies substantielles, d’abord en électricité, avec une consommation énergétique 20 % inférieure aux rames TGV duplex actuelles, grâce à son nez effilé et plus aérodynamique. profil. Mais l’entreprise devrait également économiser sur les coûts de maintenance, réduits de 30 %.
Plus de passagers, mais des retards de livraison
La SNCF peut aussi espérer une meilleure rentabilité, car elle offrira plus d’espace à bord. À l’intérieur, les voyageurs disposeront de plus d’espace, de plus de sièges, d’un bar sur deux étages et du haut débit. Un train comportera neuf voitures, contre huit actuellement, et aura donc la capacité d’embarquer jusqu’à 740 passagers par train, soit une centaine de plus qu’aujourd’hui. Le tout avec des émissions de CO2 annoncées en baisse de 32 %.
Seul bémol : le retard d’Alstom dans la fabrication et la livraison des 115 rames commandées par la SNCF. Les premiers TGV M ne circuleront qu’en 2025, alors qu’ils étaient initialement attendus avant les JO de Paris.
Ce lundi, la SNCF et Alstom, qui fabriquaient les rames, ont présenté la première rame TGV M à Belfort. Un nouveau train qui s’annonce prometteur pour le rail français.
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Le moment de premier TGV en 1981. Une étape symbolique supplémentaire pour le TGV M, « le TGV du futur », aura lieu ce lundi 29 avril. Commandé par la SNCF à Alstom, le premier train au design « InOui », qui circulera dès l’année prochaine sur le La ligne Paris-Lyon-Marseille, sera présentée à Belfort, où Alstom fabrique les motrices.
Ce TGV de 5ème génération – appelé TGV M, pour « modularité » – se veut à la fois plus écologique et surtout plus économique : il devrait ainsi permettre à la SNCF de réaliser des économies substantielles, d’abord en électricité, avec une consommation énergétique 20 % inférieure aux rames TGV duplex actuelles, grâce à son nez effilé et plus aérodynamique. profil. Mais l’entreprise devrait également économiser sur les coûts de maintenance, réduits de 30 %.
Plus de passagers, mais des retards de livraison
La SNCF peut aussi espérer une meilleure rentabilité, car elle offrira plus d’espace à bord. À l’intérieur, les voyageurs disposeront de plus d’espace, de plus de sièges, d’un bar sur deux étages et du haut débit. Un train comportera neuf voitures, contre huit actuellement, et aura donc la capacité d’embarquer jusqu’à 740 passagers par train, soit une centaine de plus qu’aujourd’hui. Le tout avec des émissions de CO2 annoncées en baisse de 32 %.
Seul bémol : le retard d’Alstom dans la fabrication et la livraison des 115 rames commandées par la SNCF. Les premiers TGV M ne circuleront qu’en 2025, alors qu’ils étaient initialement attendus avant les JO de Paris.