Cette initiative impliquerait l’Assemblée nationale et le Sénat, qui participeraient à “ses travaux et décisions”, suggèrent les rapporteurs dans leurs conclusions publiées lundi.
Publié
Temps de lecture : 1 min
Quel avenir pour la Nouvelle-Calédonie dont le corps électoral sera réformé ? La mission d’information sur l’avenir institutionnel des territoires d’outre-mer plaide pour la mise en place d’un «mission impartiale” en vue de parvenir à un “accord mondial” sur la situation en Nouvelle-Calédonie. C’est ce qu’écrivent les rapporteurs dans leurs conclusions publiées lundi 29 avril. Cette initiative impliquerait l’Assemblée nationale et le Sénat, qui participeraient à “son travail et ses décisions”.
Le 7 mai, les députés entameront l’examen du projet de loi constitutionnelle visant à ouvrir le corps électoral aux élections provinciales aux personnes résidant sur le territoire depuis plus de dix ans. Un sujet sur lequel les rapporteurs de la mission ne sont pas parvenus à un consensus.
Les parlementaires s’inquiètent d’une « montée des tensions et de « la radicalisation de certains »
Le projet de texte divise profondément séparatistes et non-indépendantistes dans l’archipel et fait craindre aux rapporteurs “un risque réel d’embrasement (…)”même s’ils estiment, au terme de leurs nombreuses auditions, qu’un « un accord est possible dans un délai raisonnable ».
Les membres de la mission des groupes Nupes, LR et Renaissance, présents sur le Caillou du 11 au 15 mars, “une gauche de Nouvelle-Calédonie inquiète de la montée des tensions, de la radicalisation de certains face aux échéances à venir, dans un contexte de population armée et de blessures mal cicatrisées”. Si le projet est adopté, ils rappellent la possibilité d’un boycott des élections provinciales par les indépendantistes, à la tête de 22 des 33 communes calédoniennes, menaçant le bon déroulement du scrutin.
Cette initiative impliquerait l’Assemblée nationale et le Sénat, qui participeraient à “ses travaux et décisions”, suggèrent les rapporteurs dans leurs conclusions publiées lundi.
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Quel avenir pour la Nouvelle-Calédonie dont le corps électoral sera réformé ? La mission d’information sur l’avenir institutionnel des territoires d’outre-mer plaide pour la mise en place d’un «mission impartiale” en vue de parvenir à un “accord mondial” sur la situation en Nouvelle-Calédonie. C’est ce qu’écrivent les rapporteurs dans leurs conclusions publiées lundi 29 avril. Cette initiative impliquerait l’Assemblée nationale et le Sénat, qui participeraient à “son travail et ses décisions”.
Le 7 mai, les députés entameront l’examen du projet de loi constitutionnelle visant à ouvrir le corps électoral aux élections provinciales aux personnes résidant sur le territoire depuis plus de dix ans. Un sujet sur lequel les rapporteurs de la mission ne sont pas parvenus à un consensus.
Les parlementaires s’inquiètent d’une « montée des tensions et de « la radicalisation de certains »
Le projet de texte divise profondément séparatistes et non-indépendantistes dans l’archipel et fait craindre aux rapporteurs “un risque réel d’embrasement (…)”même s’ils estiment, au terme de leurs nombreuses auditions, qu’un « un accord est possible dans un délai raisonnable ».
Les membres de la mission des groupes Nupes, LR et Renaissance, présents sur le Caillou du 11 au 15 mars, “une gauche de Nouvelle-Calédonie inquiète de la montée des tensions, de la radicalisation de certains face aux échéances à venir, dans un contexte de population armée et de blessures mal cicatrisées”. Si le projet est adopté, ils rappellent la possibilité d’un boycott des élections provinciales par les indépendantistes, à la tête de 22 des 33 communes calédoniennes, menaçant le bon déroulement du scrutin.