“JEJ’ai vécu en 1euhle 3ele 6epuis à Villeurbanne… Mais, comme beaucoup de trentenaires, pour un premier achat, Lyon n’était pas imaginable. » Travaillant à distance pour une entreprise parisienne, Amandine, responsable de formation dans le secteur médico-social, fait partie des jeunes Lyonnais qui choisissent la capitale du Beaujolais, ses bords de Saône, son théâtre et son musée Paul-Dini.
« Quitte à déménager, je me suis dit : ‘Autant le faire franchement et trouver une ville assez grande, avec une dimension culturelle, pour qu’on n’ait pas besoin de revenir tout le temps à Lyon’, » explique-t-elle.
Jean-Baptiste, autre ex-Lyonnais et Néo-Calédois, a également été attiré par cette petite ville complète, aux prix bien plus abordables : « Nous avions déjà beaucoup de mal à trouver un logement à Lyon avec notre premier enfant, donc avec un deuxième… »
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« Une belle surprise »
Professeur d’histoire-géographie, il prend chaque jour le train pour rejoindre son lycée en banlieue lyonnaise. « Cela me prend quarante-cinq minutes de porte à porte, j’ai des collègues qui restent à Lyon et prennent autant de temps », constate-t-il.
Le choix de Villefranche s’est fait en regardant les lignes de train. “Au départ, nous visions le Sud, autour de Vienne, mais nous n’étions pas convaincus : la vallée du Rhône est saturée, avec beaucoup de bouchons… Nous ne connaissions pas le Nord, et c’est une bonne surprise”, constate-t-il ( …) En savoir plus