Publié
Durée de la vidéo : 7 minutes
Dans un sport très conservateur, une poignée de Japonaises ont ouvert la voie aux femmes pour gagner leur place dans le dohyo, l’arène du sumo. L’émission « Stade 2 » leur a consacré un grand format.
Leurs noms sont Hiyori Kon, Rio Hasegawa, Nana Abe. Tous sont des lutteurs de sumo japonais. La première, âgée de 26 ans, est l’héroïne du documentaire Petite mademoiselle sumo. Cette pionnière se bat depuis des années contre les discriminations envers les femmes dans le monde du sumo, « le sport des dieux ». Pendant des siècles, il était interdit aux femmes de mettre les pieds sur le sable du dohyo, l’arène où se déroule le combat.
Il y a quelques mois, Rio Hasegawa est devenu le premier à rejoindre le club de sumo de l’université Keio de Tokyo, avec un simple changement de vestiaire. Si la place des femmes sur les dohyos progresse dans le monde amateur, les arènes professionnelles leur restent pour l’instant fermées. Pas de quoi freiner les ambitions de Nana Abe. A 14 ans, déjà célèbre dans son pays, elle rêve de devenir sumotori professionnelle.
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Dans un sport très conservateur, une poignée de Japonaises ont ouvert la voie aux femmes pour gagner leur place dans le dohyo, l’arène du sumo. L’émission « Stade 2 » leur a consacré un grand format.
Leurs noms sont Hiyori Kon, Rio Hasegawa, Nana Abe. Tous sont des lutteurs de sumo japonais. La première, âgée de 26 ans, est l’héroïne du documentaire Petite mademoiselle sumo. Cette pionnière se bat depuis des années contre les discriminations envers les femmes dans le monde du sumo, « le sport des dieux ». Pendant des siècles, il était interdit aux femmes de mettre les pieds sur le sable du dohyo, l’arène où se déroule le combat.
Il y a quelques mois, Rio Hasegawa est devenu le premier à rejoindre le club de sumo de l’université Keio de Tokyo, avec un simple changement de vestiaire. Si la place des femmes sur les dohyos progresse dans le monde amateur, les arènes professionnelles leur restent pour l’instant fermées. Pas de quoi freiner les ambitions de Nana Abe. A 14 ans, déjà célèbre dans son pays, elle rêve de devenir sumotori professionnelle.