C’était “mois” qu’ils négociaient, explique Le Temps. Ce vendredi 26 avril, le milliardaire tchèque et le groupe emblématique de la Ruhr allemande “convenu” et l’a fait savoir, sans entrer dans les détails. Daniel Kretinsky prend une participation de 20 %, avec sa holding EPCG, dans la branche sidérurgique de Thyssenkrupp, le numéro un allemand du secteur.
Mais ce n’est qu’un “première fois”, explique l’hebdomadaire allemand. L’investisseur négocie pour prendre « 30 % supplémentaires d’activités sidérurgiques » du géant, avec pour objectif « la création d’une joint-venture dans laquelle les deux partenaires détiendraient chacun 50 % ».
Miguel López, président de Thyssenkrupp « espère ainsi trouver une solution à la hausse prévisible des coûts de l’énergie » dans une industrie contrainte de se transformer pour répondre aux impératifs de transition écologique. L’investisseur tchèque, dont le groupe augmente ses participations (d’abord dans le secteur de l’énergie puis dans les médias, et désormais dans la sidérurgie), prend pied au sein du premier sidérurgiste allemand.
Une « surprise » qui mécontente les salariés
Le groupe de 27 000 salariés est en crise depuis plusieurs années. Selon Journal du Handelsblatt, Daniel Kretinsky a assuré la possibilité de « se retirer de l’accord au bout de six mois s’il n’est pas satisfait du développement futur de l’activité ». LE « un prix d’achat de 20 % serait de l’ordre de quelques centaines de millions » euros, soit en dessous de la valeur comptable de l’entreprise, précise le quotidien économique allemand.
Le puissant syndicat IG-Metall, prévenu “quelques heures avant” l’annonce, affirme le quotidien économique, a fait savoir que cette arrivée “surprendre” de l’investisseur ne constituait pas “ni les bonnes manières ni un bon départ”.
C’était “mois” qu’ils négociaient, explique Le Temps. Ce vendredi 26 avril, le milliardaire tchèque et le groupe emblématique de la Ruhr allemande “convenu” et l’a fait savoir, sans entrer dans les détails. Daniel Kretinsky prend une participation de 20 %, avec sa holding EPCG, dans la branche sidérurgique de Thyssenkrupp, le numéro un allemand du secteur.
Mais ce n’est qu’un “première fois”, explique l’hebdomadaire allemand. L’investisseur négocie pour prendre « 30 % supplémentaires d’activités sidérurgiques » du géant, avec pour objectif « la création d’une joint-venture dans laquelle les deux partenaires détiendraient chacun 50 % ».
Miguel López, président de Thyssenkrupp « espère ainsi trouver une solution à la hausse prévisible des coûts de l’énergie » dans une industrie contrainte de se transformer pour répondre aux impératifs de transition écologique. L’investisseur tchèque, dont le groupe augmente ses participations (d’abord dans le secteur de l’énergie puis dans les médias, et désormais dans la sidérurgie), prend pied au sein du premier sidérurgiste allemand.
Une « surprise » qui mécontente les salariés
Le groupe de 27 000 salariés est en crise depuis plusieurs années. Selon Journal du Handelsblatt, Daniel Kretinsky a assuré la possibilité de « se retirer de l’accord au bout de six mois s’il n’est pas satisfait du développement futur de l’activité ». LE « un prix d’achat de 20 % serait de l’ordre de quelques centaines de millions » euros, soit en dessous de la valeur comptable de l’entreprise, précise le quotidien économique allemand.
Le puissant syndicat IG-Metall, prévenu “quelques heures avant” l’annonce, affirme le quotidien économique, a fait savoir que cette arrivée “surprendre” de l’investisseur ne constituait pas “ni les bonnes manières ni un bon départ”.