LE “thriller”, écrit et réalisé par Pedro Sánchez, se termine par un “coup de grâce” dont lui seul a le secret, s’exclame la presse espagnole. Lundi 29 avril, cinq jours après avoir envoyé une lettre à ses concitoyens dans laquelle il envisageait de démissionner après l’ouverture d’une enquête préliminaire pour « trafic d’influence et corruption » contre son épouse, Begoña Gómez, le Premier ministre espagnol “surpris en déclarant qu’il n’y aurait pas de surprise”, puisqu’il restera en fonction, résume le quotidien de centre droit La Vanguardia.
«Lorsque Pedro Sánchez a commencé son discours par un ‘buenas tardes’ à 11 heures du matin (les Espagnols se saluent par un ‘buenos días’ le matin et un ‘buenas tardes’ l’après-midi), on pouvait déjà supposer que le chef de le gouvernement du Royaume d’Espagne avait perdu le fil de la réalité », est désolé Le Monde, quotidien conservateur.
Le discours du leader socialiste était très attendu. Sánchez, 52 ans, s’est présenté comme un ” référence pour cette Espagne qui veut mettre fin à la politique de l’ignominie, un mal qui touche toute l’Europe et qui trouve ses origines dans
LE “thriller”, écrit et réalisé par Pedro Sánchez, se termine par un “coup de grâce” dont lui seul a le secret, s’exclame la presse espagnole. Lundi 29 avril, cinq jours après avoir envoyé une lettre à ses concitoyens dans laquelle il envisageait de démissionner après l’ouverture d’une enquête préliminaire pour « trafic d’influence et corruption » contre son épouse, Begoña Gómez, le Premier ministre espagnol “surpris en déclarant qu’il n’y aurait pas de surprise”, puisqu’il restera en fonction, résume le quotidien de centre droit La Vanguardia.
«Lorsque Pedro Sánchez a commencé son discours par un ‘buenas tardes’ à 11 heures du matin (les Espagnols se saluent par un ‘buenos días’ le matin et un ‘buenas tardes’ l’après-midi), on pouvait déjà supposer que le chef de le gouvernement du Royaume d’Espagne avait perdu le fil de la réalité », est désolé Le Monde, quotidien conservateur.
Le discours du leader socialiste était très attendu. Sánchez, 52 ans, s’est présenté comme un ” référence pour cette Espagne qui veut mettre fin à la politique de l’ignominie, un mal qui touche toute l’Europe et qui trouve ses origines dans