Le Hamas envisagerait-il de quitter le Qatar ? C’est en tout cas ce que, le 20 avril, Thé le journal Wall Street, soulignant que la pression internationale s’accentuait sur Doha. La tension monte entre le Hamas – dont le bureau politique est basé au Qatar depuis 2012 – et ses hôtes, notamment en raison de l’échec des négociations concernant la libération des otages israéliens. Le quotidien américain évoque des contacts établis avec deux nouveaux pays d’accueil potentiels, Oman et « un autre pays de la région ».
Serait-ce la Turquie ? s’interroge la presse turque, comme le quotidien Milliyet, qui rapporte que le président islamo-nationaliste, Recep Tayyip Erdogan, multiplie les négociations en lien avec la guerre à Gaza dans le but de se présenter comme une solution alternative à Doha. Ainsi, le 20 avril, il reçoit le même jour le ministre égyptien des Affaires étrangères, Sameh Choukri, puis le chef de la branche politique du Hamas, Ismaël Haniyeh.
L’occasion pour le président turc de réitérer son soutien au mouvement islamiste palestinien, et de faire un parallèle entre la résistance armée du Hamas et celle des Turcs lors de la guerre d’indépendance (1919-1922). Une comparaison qui a suscité la colère dans les rangs de l’opposition, qui y a vu une atteinte à la mémoire du leader indépendantiste et fondateur de la République laïque de Turquie, Mustafa Kemal dit « Atatürk ».
« Ni Israël ni
Le Hamas envisagerait-il de quitter le Qatar ? C’est en tout cas ce que, le 20 avril, Thé le journal Wall Street, soulignant que la pression internationale s’accentuait sur Doha. La tension monte entre le Hamas – dont le bureau politique est basé au Qatar depuis 2012 – et ses hôtes, notamment en raison de l’échec des négociations concernant la libération des otages israéliens. Le quotidien américain évoque des contacts établis avec deux nouveaux pays d’accueil potentiels, Oman et « un autre pays de la région ».
Serait-ce la Turquie ? s’interroge la presse turque, comme le quotidien Milliyet, qui rapporte que le président islamo-nationaliste, Recep Tayyip Erdogan, multiplie les négociations en lien avec la guerre à Gaza dans le but de se présenter comme une solution alternative à Doha. Ainsi, le 20 avril, il reçoit le même jour le ministre égyptien des Affaires étrangères, Sameh Choukri, puis le chef de la branche politique du Hamas, Ismaël Haniyeh.
L’occasion pour le président turc de réitérer son soutien au mouvement islamiste palestinien, et de faire un parallèle entre la résistance armée du Hamas et celle des Turcs lors de la guerre d’indépendance (1919-1922). Une comparaison qui a suscité la colère dans les rangs de l’opposition, qui y a vu une atteinte à la mémoire du leader indépendantiste et fondateur de la République laïque de Turquie, Mustafa Kemal dit « Atatürk ».