Pour le Parti libéral-démocrate japonais (PLD, conservateurs) au pouvoir, cela pourrait être le signe avant-coureur d’un effondrement. Le 28 avril, à l’issue des élections partielles organisées le même jour dans trois circonscriptions du pays, le parti a perdu trois sièges à la chambre basse au profit de la principale force d’opposition, le Parti démocratique constitutionnel (PDC, centre gauche), rapporte le journal japonais. chaîne publique NHK. Ces votes faisaient suite au décès de l’ancien président de la chambre basse Hiroyuki Hosoda et à la démission de deux autres députés du PLD. L’une d’elles est due au récent scandale politico-financier qui a touché le parti, lié à ses soirées de collecte de fonds.
Le PLD est au plus bas dans les sondages en raison de ce scandale et de l’inflation qui persiste dans le pays : en avril, le taux de popularité du parti n’était que de 15%, selon l’agence de presse. Jiji Tsushin. Le parti n’a même pas pu présenter de candidats dans les circonscriptions de Tokyo et de Nagasaki (sud du Japon), où se sont déroulés les scrutins dimanche. Ce n’est donc qu’à Shimane, à l’ouest de l’archipel, que se sont affrontés le candidat du parti au pouvoir et celui de l’opposition.
Un élu accusé de liens avec la secte Moon
Fait marquant et susceptible de peser sur la politique japonaise dans les mois à venir, le PLD y subit une défaite
Pour le Parti libéral-démocrate japonais (PLD, conservateurs) au pouvoir, cela pourrait être le signe avant-coureur d’un effondrement. Le 28 avril, à l’issue des élections partielles organisées le même jour dans trois circonscriptions du pays, le parti a perdu trois sièges à la chambre basse au profit de la principale force d’opposition, le Parti démocratique constitutionnel (PDC, centre gauche), rapporte le journal japonais. chaîne publique NHK. Ces votes faisaient suite au décès de l’ancien président de la chambre basse Hiroyuki Hosoda et à la démission de deux autres députés du PLD. L’une d’elles est due au récent scandale politico-financier qui a touché le parti, lié à ses soirées de collecte de fonds.
Le PLD est au plus bas dans les sondages en raison de ce scandale et de l’inflation qui persiste dans le pays : en avril, le taux de popularité du parti n’était que de 15%, selon l’agence de presse. Jiji Tsushin. Le parti n’a même pas pu présenter de candidats dans les circonscriptions de Tokyo et de Nagasaki (sud du Japon), où se sont déroulés les scrutins dimanche. Ce n’est donc qu’à Shimane, à l’ouest de l’archipel, que se sont affrontés le candidat du parti au pouvoir et celui de l’opposition.
Un élu accusé de liens avec la secte Moon
Fait marquant et susceptible de peser sur la politique japonaise dans les mois à venir, le PLD y subit une défaite