Alors que Mathilde Panot et Rima Hassan sont interrogées ce mardi par la police pour « apologie du terrorisme », La France insoumise organise un rassemblement de soutien à 8h30 à Paris.
UN « rassemblement contre la criminalisation des voix de la paix » en réponse à la convocation de la police de Mathilde Panot et Rima Hassan. Les deux Insoumises sont entendues ce mardi dans le cadre des investigations pour « apologie du terrorisme » après des propos tenus sur le conflit israélo-palestinien. Être ému par un “la censure”La France insoumise (LFI) a annoncé l’organisation d’un rassemblement dès 8h30 ce mardi près du tribunal d’instance de Paris et des locaux de la police judiciaire, dans le 17e arrondissement de Paris.
Rima Hassan, numéro sept de la liste européenne de Manon Aubry et militante pro-palestinienne, a été convoquée le 19 avril pour « actes d’apologie publique d’un acte de terrorisme, commis au moyen d’un service de communication publique en ligne ». L’avocat de 32 ans est critiqué pour des propos tenus lors d’un entretien accordé aux médias fin novembre Le crayon, dans laquelle elle a considéré comme légitime l’action menée par le mouvement islamiste palestinien Hamas. Le candidat européen s’est encore exprimé ce mardi matin sur « apologie du droit international et incitation à la paix ». Avant de prendre rendez-vous avec ses supporters «Porte de Clichy à 9h».
Convoquée quatre jours plus tard, Mathilde Panot, chef de file des députés Insoumis, a été pointée du doigt par un communiqué publié le 7 octobre, après l’attaque inédite du Hamas contre Israël. Les attaques ont alors été décrites par les Insoumis comme une « une offensive armée des forces palestiniennes ».
Invité ce mardi par BFMTV et RMC, le député LFI Louis Boyard a dénoncé les convocations de la police “sans fondement”. De son côté, le patron du groupe Les Républicains au Sénate, Bruno Retailleau, a estimé sur TF1 que “LFI et l’extrême gauche en France continuent de se comporter comme des procureurs interdisant ou censurant tel ou tel média pour tel ou tel mot ou (…) analyse.” Et d’ajouter : “C’est l’arroseur qui a arrosé.”
Alors que Mathilde Panot et Rima Hassan sont interrogées ce mardi par la police pour « apologie du terrorisme », La France insoumise organise un rassemblement de soutien à 8h30 à Paris.
UN « rassemblement contre la criminalisation des voix de la paix » en réponse à la convocation de la police de Mathilde Panot et Rima Hassan. Les deux Insoumises sont entendues ce mardi dans le cadre des investigations pour « apologie du terrorisme » après des propos tenus sur le conflit israélo-palestinien. Être ému par un “la censure”La France insoumise (LFI) a annoncé l’organisation d’un rassemblement dès 8h30 ce mardi près du tribunal d’instance de Paris et des locaux de la police judiciaire, dans le 17e arrondissement de Paris.
Rima Hassan, numéro sept de la liste européenne de Manon Aubry et militante pro-palestinienne, a été convoquée le 19 avril pour « actes d’apologie publique d’un acte de terrorisme, commis au moyen d’un service de communication publique en ligne ». L’avocat de 32 ans est critiqué pour des propos tenus lors d’un entretien accordé aux médias fin novembre Le crayon, dans laquelle elle a considéré comme légitime l’action menée par le mouvement islamiste palestinien Hamas. Le candidat européen s’est encore exprimé ce mardi matin sur « apologie du droit international et incitation à la paix ». Avant de prendre rendez-vous avec ses supporters «Porte de Clichy à 9h».
Convoquée quatre jours plus tard, Mathilde Panot, chef de file des députés Insoumis, a été pointée du doigt par un communiqué publié le 7 octobre, après l’attaque inédite du Hamas contre Israël. Les attaques ont alors été décrites par les Insoumis comme une « une offensive armée des forces palestiniennes ».
Invité ce mardi par BFMTV et RMC, le député LFI Louis Boyard a dénoncé les convocations de la police “sans fondement”. De son côté, le patron du groupe Les Républicains au Sénate, Bruno Retailleau, a estimé sur TF1 que “LFI et l’extrême gauche en France continuent de se comporter comme des procureurs interdisant ou censurant tel ou tel média pour tel ou tel mot ou (…) analyse.” Et d’ajouter : “C’est l’arroseur qui a arrosé.”