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Durée de la vidéo : 2 minutes
Une nouvelle version du superéthanol E85 pourrait bientôt être lancée dans les stations-service. Ce carburant entièrement renouvelable offrirait la possibilité de réduire les émissions de gaz à effet de serre (CO2) de 70 %.
Le carburant du futur ? Une nouvelle version du superéthanol E85 pourrait bientôt apparaître dans les stations-service pour remplacer l’éthanol fabriqué à partir de 25 % de pétrole raffiné. Pour ce faire, les concepteurs de cette énergie renouvelable s’appuieront sur d’autres plantes, comme l’huile de colza ou de friture, ou encore l’essence de synthèse à base d’hydrogène. L’empreinte carbone des voitures utilisant ce superéthanol serait similaire à celle des voitures électriques. Les émissions de gaz à effet de serre (CO2) seraient réduites de 70 %.
Des effets environnementaux vertueux ?
Les consommateurs pourraient ainsi économiser de l’argent. « Cela pourrait être légèrement au-dessus de 90 centimes le litre, donc bien en dessous de l’essence sans plomb », assure Nicolas Kurtsoglu, responsable carburants chez Bioéthanol France. Certains experts s’inquiètent cependant des conséquences environnementales liées à l’utilisation de ce carburant. La demande nécessiterait une utilisation croissante des terres agricoles consacrées au colza ou à la betterave. La Commission européenne doit se prononcer sur ce carburant 100% renouvelable pour permettre sa commercialisation.
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Une nouvelle version du superéthanol E85 pourrait bientôt être lancée dans les stations-service. Ce carburant entièrement renouvelable offrirait la possibilité de réduire les émissions de gaz à effet de serre (CO2) de 70 %.
Le carburant du futur ? Une nouvelle version du superéthanol E85 pourrait bientôt apparaître dans les stations-service pour remplacer l’éthanol fabriqué à partir de 25 % de pétrole raffiné. Pour ce faire, les concepteurs de cette énergie renouvelable s’appuieront sur d’autres plantes, comme l’huile de colza ou de friture, ou encore l’essence de synthèse à base d’hydrogène. L’empreinte carbone des voitures utilisant ce superéthanol serait similaire à celle des voitures électriques. Les émissions de gaz à effet de serre (CO2) seraient réduites de 70 %.
Des effets environnementaux vertueux ?
Les consommateurs pourraient ainsi économiser de l’argent. « Cela pourrait être légèrement au-dessus de 90 centimes le litre, donc bien en dessous de l’essence sans plomb », assure Nicolas Kurtsoglu, responsable carburants chez Bioéthanol France. Certains experts s’inquiètent cependant des conséquences environnementales liées à l’utilisation de ce carburant. La demande nécessiterait une utilisation croissante des terres agricoles consacrées au colza ou à la betterave. La Commission européenne doit se prononcer sur ce carburant 100% renouvelable pour permettre sa commercialisation.