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Durée de la vidéo : 4 minutes
Israël demande au Hamas de se prononcer sur une proposition de trêve de 40 jours associée à la libération de 33 otages. Pour en parler, le chercheur spécialiste du Moyen-Orient David Rigoulet-Roze est l’invité de l’info 19/20, mardi 30 avril.
Mardi 30 avril, des pourparlers sont toujours en cours entre Israël et le Hamas concernant une trêve dans la bande de Gaza. Les négociations portent sur une trêve de 40 jours et la libération de 33 otages israéliens. Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, encourage le Hamas à accepter cette proposition. Invité de 19/20 info, David Rigoulet-Roze, chercheur spécialiste du Moyen-Orient, estime que« il y a eu un assouplissement des conditions israéliennes » sur les conditions de libération et le nombre d’otages.
Une trêve « suspensive »
« Certains otages sont morts, et les Israéliens le savent », estime le spécialiste. Le gouvernement israélien serait ainsi poussé, à travers les familles, “à faire des compromis”. « Ce serait pour l’instant une trêve suspensive, alors qu’au départ, le Hamas demandait une trêve définitive », précise David Rigoulet-Roze. Selon lui, tant le Hamas qu’Israël pourraient bénéficier de cette trêve de 40 jours. L’organisation palestinienne doit prendre une décision dans la soirée du 1er mai.
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Israël demande au Hamas de se prononcer sur une proposition de trêve de 40 jours associée à la libération de 33 otages. Pour en parler, le chercheur spécialiste du Moyen-Orient David Rigoulet-Roze est l’invité de l’info 19/20, mardi 30 avril.
Mardi 30 avril, des pourparlers sont toujours en cours entre Israël et le Hamas concernant une trêve dans la bande de Gaza. Les négociations portent sur une trêve de 40 jours et la libération de 33 otages israéliens. Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, encourage le Hamas à accepter cette proposition. Invité de 19/20 info, David Rigoulet-Roze, chercheur spécialiste du Moyen-Orient, estime que« il y a eu un assouplissement des conditions israéliennes » sur les conditions de libération et le nombre d’otages.
Une trêve « suspensive »
« Certains otages sont morts, et les Israéliens le savent », estime le spécialiste. Le gouvernement israélien serait ainsi poussé, à travers les familles, “à faire des compromis”. « Ce serait pour l’instant une trêve suspensive, alors qu’au départ, le Hamas demandait une trêve définitive », précise David Rigoulet-Roze. Selon lui, tant le Hamas qu’Israël pourraient bénéficier de cette trêve de 40 jours. L’organisation palestinienne doit prendre une décision dans la soirée du 1er mai.