« Le risque zéro n’existe pas, insiste le secrétaire général adjoint du Syndicat des cadres de la sécurité intérieure CFDT. Nous adapterons le système de sécurité en fonction de l’évolution de la menace.
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Temps de lecture : 1 min
« Il y a un niveau de menaces que nous ne pouvons pas cacher »a estimé lundi 15 avril sur franceinfo Didier Rendu, secrétaire général adjoint du Syndicat des cadres de la sécurité intérieure CFDT, tandis qu’Emmanuel Macron a ouvertement évoqué un “plan B” pour la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024.
La menace terroriste et le contexte international lié notamment à la situation au Moyen-Orient obligent les autorités françaises à envisager une alternative : « Il y a un niveau de menaces qu’on ne peut pas cacher, qu’il faut prendre en compte », explique le syndicaliste. L’option de limiter la cérémonie au Trocadéro est à l’étude et pourrait faciliter la tâche des forces de l’ordre. “Nous savons le faire sans difficulté. Les JO doivent être une fête pour les athlètes, pour les Français, pour tous ceux qui viennent en France pour assister aux épreuves. Nous pourrons le faire en garantissant un niveau maximum de sécurité.” a-t-il assuré.
Il faut garantir aux agents des « conditions de travail optimales »
« La police nationale va évidemment répondre », rassure Didier Rendu. Mais l’administration devra aussi répondre, selon lui, notamment “en garantissant aux agents toutes les conditions de travail optimales pour mener à bien leurs missions”, notamment “en termes de récupération du temps de travail pour permettre à nos collègues de travailler l’esprit libre”, il expliqua.
Dans ce contexte de menace terroriste, la difficulté est de l’évaluer au quotidien à plus de trois mois du début des JO : « Tous les services de renseignement travaillent quotidiennement à l’évaluation de cette menace. Il existe un plan A avec un scénario défini. mais “on ne s’interdit pas de réfléchir à un plan B en fonction de l’évolution de la menace”il explique. « Le risque zéro n’existe pas. Nous adapterons le système de sécurité », explique Didier Rendu.
« Le risque zéro n’existe pas, insiste le secrétaire général adjoint du Syndicat des cadres de la sécurité intérieure CFDT. Nous adapterons le système de sécurité en fonction de l’évolution de la menace.
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« Il y a un niveau de menaces que nous ne pouvons pas cacher »a estimé lundi 15 avril sur franceinfo Didier Rendu, secrétaire général adjoint du Syndicat des cadres de la sécurité intérieure CFDT, tandis qu’Emmanuel Macron a ouvertement évoqué un “plan B” pour la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024.
La menace terroriste et le contexte international lié notamment à la situation au Moyen-Orient obligent les autorités françaises à envisager une alternative : « Il y a un niveau de menaces qu’on ne peut pas cacher, qu’il faut prendre en compte », explique le syndicaliste. L’option de limiter la cérémonie au Trocadéro est à l’étude et pourrait faciliter la tâche des forces de l’ordre. “Nous savons le faire sans difficulté. Les JO doivent être une fête pour les athlètes, pour les Français, pour tous ceux qui viennent en France pour assister aux épreuves. Nous pourrons le faire en garantissant un niveau maximum de sécurité.” a-t-il assuré.
Il faut garantir aux agents des « conditions de travail optimales »
« La police nationale va évidemment répondre », rassure Didier Rendu. Mais l’administration devra aussi répondre, selon lui, notamment “en garantissant aux agents toutes les conditions de travail optimales pour mener à bien leurs missions”, notamment “en termes de récupération du temps de travail pour permettre à nos collègues de travailler l’esprit libre”, il expliqua.
Dans ce contexte de menace terroriste, la difficulté est de l’évaluer au quotidien à plus de trois mois du début des JO : « Tous les services de renseignement travaillent quotidiennement à l’évaluation de cette menace. Il existe un plan A avec un scénario défini. mais “on ne s’interdit pas de réfléchir à un plan B en fonction de l’évolution de la menace”il explique. « Le risque zéro n’existe pas. Nous adapterons le système de sécurité », explique Didier Rendu.