C’est la dernière ville du Darfour encore aux mains de l’armée soudanaise du chef de l’Etat de facto, le général Abdel Fattah al-Burhan. Dans la guerre qui oppose ces dernières aux Forces de soutien rapide (RSF), la ville d’Al-Facher constitue le dernier bastion conquis par les milices armées dirigées par le général Mohamed Hamdane Dagalo, dit « Hemeti ». Un an après le début du conflit, Al-Fasher est l’épicentre d’un conflit meurtrier qui a déjà déplacé plus de huit millions de personnes.
Le sort de cette ville assiégée inquiète l’ONU et Washington, qui alertent sur les conséquences de son assaut par le groupe paramilitaire. Selon Thé New York Times, l’ambassadrice américaine auprès des Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield, a annoncé le 28 avril que la ville était « au bord d’un massacre à grande échelle ».
De son côté, l’ONU appelle à la retenue de la part des acteurs armés à Al-Facher et s’inquiète « des informations de plus en plus alarmantes (qui) font état d’une escalade dramatique des tensions »
C’est la dernière ville du Darfour encore aux mains de l’armée soudanaise du chef de l’Etat de facto, le général Abdel Fattah al-Burhan. Dans la guerre qui oppose ces dernières aux Forces de soutien rapide (RSF), la ville d’Al-Facher constitue le dernier bastion conquis par les milices armées dirigées par le général Mohamed Hamdane Dagalo, dit « Hemeti ». Un an après le début du conflit, Al-Fasher est l’épicentre d’un conflit meurtrier qui a déjà déplacé plus de huit millions de personnes.
Le sort de cette ville assiégée inquiète l’ONU et Washington, qui alertent sur les conséquences de son assaut par le groupe paramilitaire. Selon Thé New York Times, l’ambassadrice américaine auprès des Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield, a annoncé le 28 avril que la ville était « au bord d’un massacre à grande échelle ».
De son côté, l’ONU appelle à la retenue de la part des acteurs armés à Al-Facher et s’inquiète « des informations de plus en plus alarmantes (qui) font état d’une escalade dramatique des tensions »