Pour les salaires, pour la paix ou même pour une Europe “plus protecteur”: les principaux syndicats appellent à descendre dans la rue le 1er mai avec diverses revendications. Contrairement à l’année dernière où les huit principaux syndicats français (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires, FSU) avaient manifesté ensemble contre la réforme des retraites, il n’y a pas un mot d’ordre interprofessionnel national.
La CGT, la FSU et Solidaires, ainsi que des organisations de jeunesse dont l’Unef, la Fage et le MNL (Mouvement national des lycées), ont lancé un appel commun notamment “contre l’austérité”pour l’emploi et les salaires ou même la paix. « Nous allons nous mobiliser pour les salaires et dénoncer la destruction sociale menée par le gouvernement et le patronat qui veulent notamment s’attaquer à l’assurance chômage »» a déclaré mercredi la numéro un de la CGT Sophie Binet sur RMC.
Le premier syndicat français, la CFDT, a de son côté appelé à « Rejoignez les cortèges organisés dans toute la France, pour réclamer une Europe plus ambitieuse et plus protectrice pour les travailleurs ». Sa numéro un Marylise Léon sera à Nancy, où elle participera à un débat sur les enjeux des élections européennes. Sur France Inter mercredi, elle a réfuté tout abandon du modèle de l’unité, en pointant du doigt le cortège parisien solidaire. S’il n’y a pas d’appel interprofessionnel national, « C’est parce que nous voulions que ce soit l’Europe. Ce n’était pas forcément le choix des autres organisations syndicales »dit-elle.
Son homologue de FO, Frédéric Souillot, sera pratiquement à l’autre bout de la France, à Montauban, en Occitanie. A Paris, les militants syndicaux devaient rendre hommage comme à leur habitude aux combattants de la Commune, devant le mur des Fédérés au cimetière du Père-Lachaise dans la matinée, avant de manifester depuis la place d’Italie à midi.
Pour les salaires, pour la paix ou même pour une Europe “plus protecteur”: les principaux syndicats appellent à descendre dans la rue le 1er mai avec diverses revendications. Contrairement à l’année dernière où les huit principaux syndicats français (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires, FSU) avaient manifesté ensemble contre la réforme des retraites, il n’y a pas un mot d’ordre interprofessionnel national.
La CGT, la FSU et Solidaires, ainsi que des organisations de jeunesse dont l’Unef, la Fage et le MNL (Mouvement national des lycées), ont lancé un appel commun notamment “contre l’austérité”pour l’emploi et les salaires ou même la paix. « Nous allons nous mobiliser pour les salaires et dénoncer la destruction sociale menée par le gouvernement et le patronat qui veulent notamment s’attaquer à l’assurance chômage »» a déclaré mercredi la numéro un de la CGT Sophie Binet sur RMC.
Le premier syndicat français, la CFDT, a de son côté appelé à « Rejoignez les cortèges organisés dans toute la France, pour réclamer une Europe plus ambitieuse et plus protectrice pour les travailleurs ». Sa numéro un Marylise Léon sera à Nancy, où elle participera à un débat sur les enjeux des élections européennes. Sur France Inter mercredi, elle a réfuté tout abandon du modèle de l’unité, en pointant du doigt le cortège parisien solidaire. S’il n’y a pas d’appel interprofessionnel national, « C’est parce que nous voulions que ce soit l’Europe. Ce n’était pas forcément le choix des autres organisations syndicales »dit-elle.
Son homologue de FO, Frédéric Souillot, sera pratiquement à l’autre bout de la France, à Montauban, en Occitanie. A Paris, les militants syndicaux devaient rendre hommage comme à leur habitude aux combattants de la Commune, devant le mur des Fédérés au cimetière du Père-Lachaise dans la matinée, avant de manifester depuis la place d’Italie à midi.