Publié
Mise à jour
Durée de la vidéo : 5 minutes
Cap sur Marseille à bord du célèbre Belem, où transite la flamme olympique. Le trois-mâts se trouve actuellement en Sicile.
Une aventure en mer, comme un pied de nez à la concurrence. Au cinquième jour du voyage, le mardi 30 avril, le temps est parfois long. Les stagiaires n’ont ni connexion internet ni réseaux sociaux, mais sont ici comme des poissons dans l’eau. Chloé, 18 ans, divertit ses camarades de classe : elle connaît tous les voiliers à l’horizon. “On s’amuse, on apprend plein de choses”, se réjouit un stagiaire. Des marins professionnels présentent tous les postes aux jeunes passagers, la priorité étant donnée à la pratique. Nathan Le Normand, aux commandes, se dit “très fier” pour tenir le gouvernail.
Conditions idéales
Pour le moment, les conditions sont idéales, sur une Méditerranée calme et ensoleillée. La véritable clé de voûte du moral de l’équipage se trouve pourtant en cuisine, où un duo peine à servir 60 couverts, midi et soir, alors que les fourneaux oscillent en permanence. Mais chaque jour, ils soignent leurs menus : ce mardi 30 avril, une salade asiatique au magret de canard en entrée, puis du cabillaud.
Le Belem est escorté par un bateau de la Marine nationale tout au long de la traversée, pour le protéger d’éventuelles actions militantes ou terroristes.
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Cap sur Marseille à bord du célèbre Belem, où transite la flamme olympique. Le trois-mâts se trouve actuellement en Sicile.
Une aventure en mer, comme un pied de nez à la concurrence. Au cinquième jour du voyage, le mardi 30 avril, le temps est parfois long. Les stagiaires n’ont ni connexion internet ni réseaux sociaux, mais sont ici comme des poissons dans l’eau. Chloé, 18 ans, divertit ses camarades de classe : elle connaît tous les voiliers à l’horizon. “On s’amuse, on apprend plein de choses”, se réjouit un stagiaire. Des marins professionnels présentent tous les postes aux jeunes passagers, la priorité étant donnée à la pratique. Nathan Le Normand, aux commandes, se dit “très fier” pour tenir le gouvernail.
Conditions idéales
Pour le moment, les conditions sont idéales, sur une Méditerranée calme et ensoleillée. La véritable clé de voûte du moral de l’équipage se trouve pourtant en cuisine, où un duo peine à servir 60 couverts, midi et soir, alors que les fourneaux oscillent en permanence. Mais chaque jour, ils soignent leurs menus : ce mardi 30 avril, une salade asiatique au magret de canard en entrée, puis du cabillaud.
Le Belem est escorté par un bateau de la Marine nationale tout au long de la traversée, pour le protéger d’éventuelles actions militantes ou terroristes.