La réunion des ministres du climat, de l’énergie et de l’environnement des pays du G7 à Turin, en Italie, s’est terminée mardi 30 avril. A cette occasion, les pays membres ont validé un engagement en faveur de la fermeture des centrales électriques au charbon sans dispositif de captage du carbone d’ici 2035. , une marge de manœuvre a été laissée possible : les pays pourront adopter un agenda “compatible” avec pour objectif de contenir la hausse des températures à 1,5°C.
Le charbon, énergie fossile la plus polluante, est dans le collimateur de la diplomatie climatique depuis des années, mais “c’est la première fois que (les membres du G7) affichent un délai chiffré concernant la libération de cette énergie”, précise le journal japonais Asahi Shimbun. Mais cet engagement risque de s’aggraver “isolement” du Japon au sein du G7, affirme le quotidien. L’archipel produit encore 30 % de son énergie à partir du charbon.
En fait, dépendant du pétrole et du gaz naturel liquéfié du Moyen-Orient, le pays considère le charbon comme un moyen précieux de réduire
La réunion des ministres du climat, de l’énergie et de l’environnement des pays du G7 à Turin, en Italie, s’est terminée mardi 30 avril. A cette occasion, les pays membres ont validé un engagement en faveur de la fermeture des centrales électriques au charbon sans dispositif de captage du carbone d’ici 2035. , une marge de manœuvre a été laissée possible : les pays pourront adopter un agenda “compatible” avec pour objectif de contenir la hausse des températures à 1,5°C.
Le charbon, énergie fossile la plus polluante, est dans le collimateur de la diplomatie climatique depuis des années, mais “c’est la première fois que (les membres du G7) affichent un délai chiffré concernant la libération de cette énergie”, précise le journal japonais Asahi Shimbun. Mais cet engagement risque de s’aggraver “isolement” du Japon au sein du G7, affirme le quotidien. L’archipel produit encore 30 % de son énergie à partir du charbon.
En fait, dépendant du pétrole et du gaz naturel liquéfié du Moyen-Orient, le pays considère le charbon comme un moyen précieux de réduire