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Durée de la vidéo : 2 minutes
Dans l’Yonne, la grêle ravage le vignoble de Chablis. Des grêlons sont tombés à deux reprises sur les vignes encore jeunes, dont beaucoup n’ont pas résisté.
Le désarroi d’un vigneron, au milieu de ses parcelles dévastées à Chablis (Yonne), jeudi 2 mai. “Voici ce qui reste de la nuit dernière : un tas de grêle”, confie Éric Cruchot. Les parcelles ont été bombardées. Les 19 hectares de vignes sont désormais méconnaissables. « Cela ne ressemble plus à une vigne. Il n’a fallu qu’une soirée pour tout réduire à néant, l’œuvre de l’année”ajoute le vigneron.
Plusieurs semaines pour évaluer l’ampleur des pertes
Toute la région de Chablis a été touchée par des orages de grêle. Ils ont frappé la région vers 20 heures le mercredi 1er mai au soir. La tempête n’a duré qu’une vingtaine de minutes, de quoi détruire un vignoble entier. Le matin, l’inventaire est fait rapidement.
Dans un autre domaine, chez Régis Perrot, il ne reste pas une grappe, ni un raisin. Tout le feuillage a été écrasé. « Les principaux bourgeons sont cassés, cela va donc impacter la récolte », il explique. Des pertes sont également à craindre à plus long terme. Le vignoble de Chablis s’étend sur 6 000 hectares. Plusieurs semaines seront nécessaires pour évaluer l’ampleur des pertes.
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Dans l’Yonne, la grêle ravage le vignoble de Chablis. Des grêlons sont tombés à deux reprises sur les vignes encore jeunes, dont beaucoup n’ont pas résisté.
Le désarroi d’un vigneron, au milieu de ses parcelles dévastées à Chablis (Yonne), jeudi 2 mai. “Voici ce qui reste de la nuit dernière : un tas de grêle”, confie Éric Cruchot. Les parcelles ont été bombardées. Les 19 hectares de vignes sont désormais méconnaissables. « Cela ne ressemble plus à une vigne. Il n’a fallu qu’une soirée pour tout réduire à néant, l’œuvre de l’année”ajoute le vigneron.
Plusieurs semaines pour évaluer l’ampleur des pertes
Toute la région de Chablis a été touchée par des orages de grêle. Ils ont frappé la région vers 20 heures le mercredi 1er mai au soir. La tempête n’a duré qu’une vingtaine de minutes, de quoi détruire un vignoble entier. Le matin, l’inventaire est fait rapidement.
Dans un autre domaine, chez Régis Perrot, il ne reste pas une grappe, ni un raisin. Tout le feuillage a été écrasé. « Les principaux bourgeons sont cassés, cela va donc impacter la récolte », il explique. Des pertes sont également à craindre à plus long terme. Le vignoble de Chablis s’étend sur 6 000 hectares. Plusieurs semaines seront nécessaires pour évaluer l’ampleur des pertes.