Publié
Durée de la vidéo : 2 minutes
Tempêtes et grêle ont massacré certains vignobles, dont ceux de Chablis, dans l’Yonne, mercredi 1er mai. Des grêlons gros comme des balles de golf sont tombés sur des vignes encore jeunes, qui n’ont pas résisté.
En quelques minutes, une épaisse couche de boules de glace recouvrait le sol à Chablis (Yonne). La tempête a traversé le département de l’Yonne vers 20 heures mercredi 1er mai, sans épargner les vignes, laissant derrière elle des parcelles dévastées par des grêlons si gros que le lendemain matin, ils n’ont pas eu le temps de fondre. Éric Cruchot, vigneron, constate l’ampleur des dégâts. “Ça ne ressemble plus à une vigne“, déplore-t-il. 19 hectares ont été bombardés. Pertes estimées : 400 000 euros. Il espère être intégralement indemnisé.
Les dégâts doivent encore être évalués
Un peu plus au nord, la grêle a été filmée par Fabrice Polette, céréalier. Le jeudi 2 mai au matin, îledirige les équipes de France Télévisions voir les dégâts causés à ses récoltes. Sur un champ d’orge, 80 % des épis sont courbés. “C’est un travail d’un an qui est détruit en quelques minutes“, décrit-il. Plusieurs semaines seront nécessaires pour évaluer plus précisément l’ampleur des pertes dans le ChaBlisien.
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Tempêtes et grêle ont massacré certains vignobles, dont ceux de Chablis, dans l’Yonne, mercredi 1er mai. Des grêlons gros comme des balles de golf sont tombés sur des vignes encore jeunes, qui n’ont pas résisté.
En quelques minutes, une épaisse couche de boules de glace recouvrait le sol à Chablis (Yonne). La tempête a traversé le département de l’Yonne vers 20 heures mercredi 1er mai, sans épargner les vignes, laissant derrière elle des parcelles dévastées par des grêlons si gros que le lendemain matin, ils n’ont pas eu le temps de fondre. Éric Cruchot, vigneron, constate l’ampleur des dégâts. “Ça ne ressemble plus à une vigne“, déplore-t-il. 19 hectares ont été bombardés. Pertes estimées : 400 000 euros. Il espère être intégralement indemnisé.
Les dégâts doivent encore être évalués
Un peu plus au nord, la grêle a été filmée par Fabrice Polette, céréalier. Le jeudi 2 mai au matin, îledirige les équipes de France Télévisions voir les dégâts causés à ses récoltes. Sur un champ d’orge, 80 % des épis sont courbés. “C’est un travail d’un an qui est détruit en quelques minutes“, décrit-il. Plusieurs semaines seront nécessaires pour évaluer plus précisément l’ampleur des pertes dans le ChaBlisien.