Publié
Durée de la vidéo : 4 minutes
Direction la Côte d’Opale, dans le Pas-de-Calais, sur le site des caps Blanc-Nez et Gris-Nez. En plus de ses paysages à couper le souffle, c’est aussi le refuge de nombreux oiseaux et ravit les papilles.
Le face-à-face dure depuis 80 millions d’années, entre les falaises immaculées du Cap Blanc-Nez et les reliefs abrupts du Gris-Nez. Depuis le belvédère perché au-dessus de la Manche, ce sont d’abord les couleurs, dignes d’une aquarelle, qui frappent les visiteurs. Les randonneurs l’apprécient également. “Il y a un vrai soulagement, qui est fortement marqué”confie Caroline Géneau, guide entre les deux caps.
Le Blanc-Nez, refuge de centaines de mouettes
Il faut descendre jusqu’à la plage pour admirer les falaises de craie du Blanc-Nez, où se sont réfugiées des centaines de mouettes. Les deux caps sont un paradis pour les amoureux des oiseaux. Plus bas, un étang d’eau douce abrite toute l’année des cormorans, mais aussi des migrateurs.
La pêche a longtemps fait la renommée de Wissant, village côtier niché entre les deux caps. Pendant des décennies, les pêcheurs ont navigué sur des flobarts, “en forme de coquille de noix”, souligne Vincent Delliaux. Il veille à la conservation des derniers flobarts, partis de la mer dans les années 1980 au profit de bateaux plus gros. Pour faire revivre la tradition de la pêche, lui et sa femme ont relancé une aubette, un stand de poisson frais à l’ancienne. La boutique ravive des souvenirs d’enfance pour de nombreux habitants.
Le produit emblématique du littoral reste cependant les moules, que les visiteurs aiment manger face à la mer.
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Direction la Côte d’Opale, dans le Pas-de-Calais, sur le site des caps Blanc-Nez et Gris-Nez. En plus de ses paysages à couper le souffle, c’est aussi le refuge de nombreux oiseaux et ravit les papilles.
Le face-à-face dure depuis 80 millions d’années, entre les falaises immaculées du Cap Blanc-Nez et les reliefs abrupts du Gris-Nez. Depuis le belvédère perché au-dessus de la Manche, ce sont d’abord les couleurs, dignes d’une aquarelle, qui frappent les visiteurs. Les randonneurs l’apprécient également. “Il y a un vrai soulagement, qui est fortement marqué”confie Caroline Géneau, guide entre les deux caps.
Le Blanc-Nez, refuge de centaines de mouettes
Il faut descendre jusqu’à la plage pour admirer les falaises de craie du Blanc-Nez, où se sont réfugiées des centaines de mouettes. Les deux caps sont un paradis pour les amoureux des oiseaux. Plus bas, un étang d’eau douce abrite toute l’année des cormorans, mais aussi des migrateurs.
La pêche a longtemps fait la renommée de Wissant, village côtier niché entre les deux caps. Pendant des décennies, les pêcheurs ont navigué sur des flobarts, “en forme de coquille de noix”, souligne Vincent Delliaux. Il veille à la conservation des derniers flobarts, partis de la mer dans les années 1980 au profit de bateaux plus gros. Pour faire revivre la tradition de la pêche, lui et sa femme ont relancé une aubette, un stand de poisson frais à l’ancienne. La boutique ravive des souvenirs d’enfance pour de nombreux habitants.
Le produit emblématique du littoral reste cependant les moules, que les visiteurs aiment manger face à la mer.