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Durée de la vidéo : 2 minutes
Des élus de plusieurs communes ont mis en place un couvre-feu pour les mineurs afin de lutter contre la délinquance. Ces initiatives locales sont soutenues par le gouvernement.
A Nice (Alpes-Maritimes), les mineurs de moins de 13 ans ne peuvent plus voyager seuls après 23 heures. La municipalité entend lutter contre la délinquance. “13 ans est un enfant. (…) Ils ne connaissent pas les risques, ils comprennent moins le danger qu’un adulte.”, juge un habitant. 11 secteurs de la ville sont visés par l’arrêté. Par endroits, les enfants de moins de 16 ans seront également concernés.
Les décisions divisent au niveau local
Depuis avril, la ville de Béziers (Hérault) a emprunté le même chemin dans trois quartiers. En mai, celle de Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône) avait également opté pour la mesure. Les décisions divisent au niveau local, comme à Limoges (Haute-Vienne), qui envisage également un couvre-feu. « On a une sorte de fuite vers Robert Ménard, vers toute cette extrême droite, et ça, c’est franchement intolérable. C’est une mesure d’affichage », estime un conseiller municipal PS de la ville, Thierry Miguel. Le gouvernement a soutenu ces initiatives locales par la voix de sa porte-parole, Prisca Thévenot, vendredi 3 mai.
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Des élus de plusieurs communes ont mis en place un couvre-feu pour les mineurs afin de lutter contre la délinquance. Ces initiatives locales sont soutenues par le gouvernement.
A Nice (Alpes-Maritimes), les mineurs de moins de 13 ans ne peuvent plus voyager seuls après 23 heures. La municipalité entend lutter contre la délinquance. “13 ans est un enfant. (…) Ils ne connaissent pas les risques, ils comprennent moins le danger qu’un adulte.”, juge un habitant. 11 secteurs de la ville sont visés par l’arrêté. Par endroits, les enfants de moins de 16 ans seront également concernés.
Les décisions divisent au niveau local
Depuis avril, la ville de Béziers (Hérault) a emprunté le même chemin dans trois quartiers. En mai, celle de Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône) avait également opté pour la mesure. Les décisions divisent au niveau local, comme à Limoges (Haute-Vienne), qui envisage également un couvre-feu. « On a une sorte de fuite vers Robert Ménard, vers toute cette extrême droite, et ça, c’est franchement intolérable. C’est une mesure d’affichage », estime un conseiller municipal PS de la ville, Thierry Miguel. Le gouvernement a soutenu ces initiatives locales par la voix de sa porte-parole, Prisca Thévenot, vendredi 3 mai.