Publié
Durée de la vidéo : 2 minutes
Le covoiturage des véhicules ambulanciers pourrait devenir obligatoire en septembre. Une manière pour l’Assurance maladie de faire des économies, qui fait néanmoins craindre de fatiguer les patients et de les exposer à une contamination.
Une habitude. Pour se rendre à la clinique une fois par semaine, un patient rencontré par les équipes de France Télévisions partage son ambulance. Un covoiturage qui lui plaît et qui lui a permis de nouer des liens. L’ambulancier explique que le covoiturage fait gagner du temps lorsque les patients qu’il transporte habitent à proximité les uns des autres.
Risques pour les patients
Le partage de votre ambulance ou de votre taxi sera bientôt une obligation pour les patients transportés assis, sauf avis contraire du médecin prescripteur. Les transporteurs devront récupérer deux à trois patients, avec un détour pouvant aller jusqu’à 30 km. Les patients atteints de maladies de longue durée, sous chimiothérapie ou dialysés craignent les risques de contamination et de fatigue. L’Assurance maladie espère économiser 150 millions d’euros avant fin 2025 grâce au covoiturage, qui pourrait devenir obligatoire en septembre prochain.
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Le covoiturage des véhicules ambulanciers pourrait devenir obligatoire en septembre. Une manière pour l’Assurance maladie de faire des économies, qui fait néanmoins craindre de fatiguer les patients et de les exposer à une contamination.
Une habitude. Pour se rendre à la clinique une fois par semaine, un patient rencontré par les équipes de France Télévisions partage son ambulance. Un covoiturage qui lui plaît et qui lui a permis de nouer des liens. L’ambulancier explique que le covoiturage fait gagner du temps lorsque les patients qu’il transporte habitent à proximité les uns des autres.
Risques pour les patients
Le partage de votre ambulance ou de votre taxi sera bientôt une obligation pour les patients transportés assis, sauf avis contraire du médecin prescripteur. Les transporteurs devront récupérer deux à trois patients, avec un détour pouvant aller jusqu’à 30 km. Les patients atteints de maladies de longue durée, sous chimiothérapie ou dialysés craignent les risques de contamination et de fatigue. L’Assurance maladie espère économiser 150 millions d’euros avant fin 2025 grâce au covoiturage, qui pourrait devenir obligatoire en septembre prochain.