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Durée de la vidéo : 4 minutes
La flamme olympique est transportée à bord du Belem, qui traverse depuis une semaine une mer Méditerranée agitée. La flamme arrivera le 8 mai à Marseille, avant de traverser la France puis de rejoindre Paris.
Sept jours après avoir quitté les côtes grecques, le Belem ne connaît pas de répit et fend les vagues d’une mer déchaînée. Pour faire face à ces conditions, le capitaine du trois-mâts a ordonné à l’équipage de replier les voiles sous la pluie. “C’est très fatigant, c’est physique et c’est du sport mais ce n’est pas grave, on garde le sourire“, raconte la navigatrice stagiaire Clara Labruyère. Avant le vendredi 3 mai, le Belem naviguait sur une mer Méditerranée calme.
Le 61ème passager
Un soleil radieux, des paysages paradisiaques, le canal de Corinthe en Grèce, l’escorte de la marine italienne dans le détroit de Messine et le buffet du commandant mercredi, face au Stromboli. Sur le Belem, la flamme est immortalisée lors d’instants magiques, sur un ancien instrument de navigation ou en haut du grand mât. Les trois gardiens l’emmènent partout avec eux. A midi et soir, la flamme descend même dans la salle à manger. “C’est une petite mascotte“, constate le médecin du bord.
Les douze jours de voyage sont longs, alors les jeunes marins stagiaires découvrent un nouveau rapport au temps. Heureusement, ils sont à Belém comme les poissons dans l’eau. Dans cinq jours, à son arrivée à Marseille, la flamme quittera le navire pour traverser la France. L’équipage sera dépossédé ; mais les 60 marins du Belem resteront toujours liés à ce lumineux 61ème passager.
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La flamme olympique est transportée à bord du Belem, qui traverse depuis une semaine une mer Méditerranée agitée. La flamme arrivera le 8 mai à Marseille, avant de traverser la France puis de rejoindre Paris.
Sept jours après avoir quitté les côtes grecques, le Belem ne connaît pas de répit et fend les vagues d’une mer déchaînée. Pour faire face à ces conditions, le capitaine du trois-mâts a ordonné à l’équipage de replier les voiles sous la pluie. “C’est très fatigant, c’est physique et c’est du sport mais ce n’est pas grave, on garde le sourire“, raconte la navigatrice stagiaire Clara Labruyère. Avant le vendredi 3 mai, le Belem naviguait sur une mer Méditerranée calme.
Le 61ème passager
Un soleil radieux, des paysages paradisiaques, le canal de Corinthe en Grèce, l’escorte de la marine italienne dans le détroit de Messine et le buffet du commandant mercredi, face au Stromboli. Sur le Belem, la flamme est immortalisée lors d’instants magiques, sur un ancien instrument de navigation ou en haut du grand mât. Les trois gardiens l’emmènent partout avec eux. A midi et soir, la flamme descend même dans la salle à manger. “C’est une petite mascotte“, constate le médecin du bord.
Les douze jours de voyage sont longs, alors les jeunes marins stagiaires découvrent un nouveau rapport au temps. Heureusement, ils sont à Belém comme les poissons dans l’eau. Dans cinq jours, à son arrivée à Marseille, la flamme quittera le navire pour traverser la France. L’équipage sera dépossédé ; mais les 60 marins du Belem resteront toujours liés à ce lumineux 61ème passager.