20 octobre 2031. C’est la date à laquelle Brittney Griner devait purger sa peine de neuf ans de prison pour trafic de drogue. Arrêté en février 2022 à l’aéroport de Moscou en possession d’huile de cannabis, le basketteur américain a été libéré le 8 décembre de la même année dans le cadre d’un échange avec le marchand d’armes russe Viktor Bout.
Dans “Coming Home”, livre à paraître le 7 mai, la joueuse de Phoenix Mercury raconte son arrestation jusqu’à son retour aux Etats-Unis. LE Temps publie des extraits, consacrés à sa détention en Mordovie, dans une colonie pénitentiaire à travers laquelle l’opposant Alexeï Navalny ou Nadejda Tolokonnikova, du groupe Pussy Riot.
Au terme d’une semaine de quarantaine, l’Américain a découvert un immeuble de trois étages abritant chacun 50 femmes. Brittney Griner est accueillie par Val, la détenue qui dirige le bloc sous la protection du directeur. « Val avait dirigé une organisation criminelle, désignant des personnes à assassiner. (…) En prison, cela lui a valu le respect. (…) Mon dortoir comptait 20 détenus. Quand
20 octobre 2031. C’est la date à laquelle Brittney Griner devait purger sa peine de neuf ans de prison pour trafic de drogue. Arrêté en février 2022 à l’aéroport de Moscou en possession d’huile de cannabis, le basketteur américain a été libéré le 8 décembre de la même année dans le cadre d’un échange avec le marchand d’armes russe Viktor Bout.
Dans “Coming Home”, livre à paraître le 7 mai, la joueuse de Phoenix Mercury raconte son arrestation jusqu’à son retour aux Etats-Unis. LE Temps publie des extraits, consacrés à sa détention en Mordovie, dans une colonie pénitentiaire à travers laquelle l’opposant Alexeï Navalny ou Nadejda Tolokonnikova, du groupe Pussy Riot.
Au terme d’une semaine de quarantaine, l’Américain a découvert un immeuble de trois étages abritant chacun 50 femmes. Brittney Griner est accueillie par Val, la détenue qui dirige le bloc sous la protection du directeur. « Val avait dirigé une organisation criminelle, désignant des personnes à assassiner. (…) En prison, cela lui a valu le respect. (…) Mon dortoir comptait 20 détenus. Quand