En avril, Washington a annoncé avoir envoyé ces missiles à l’Ukraine, qui en faisait la demande depuis longtemps pour pouvoir frapper plus loin derrière la ligne de front.
Publié
Temps de lecture : 1 min
La Russie a affirmé, samedi 4 mai, avoir abattu dans la nuit quatre missiles ATACMS au-dessus de la péninsule de Crimée annexée. Le ministère de la Défense a déclaré avoir “foilé” une attaque nocturne ukrainienne de “missiles opérationnels et tactiques”sans préciser si ces missiles ou la chute de leurs débris avaient causé des dégâts.
En avril, Washington a annoncé avoir envoyé ces missiles à l’Ukraine, qui en faisait la demande depuis longtemps pour pouvoir frapper plus loin derrière la ligne de front. Kiev a utilisé des missiles américains ATACMS contre la Russie pour la première fois en octobre, mais ceux envoyés récemment ont une portée plus longue, atteignant une distance allant jusqu’à 300 km.
L’Ukraine cherchait à s’en procurer afin de frapper les routes d’approvisionnement russes, les entrepôts ou les QG militaires plus éloignés de la ligne de front. Le Kremlin a toutefois assuré que cette nouvelle livraison ne changerait rien au conflit.
En avril, Washington a annoncé avoir envoyé ces missiles à l’Ukraine, qui en faisait la demande depuis longtemps pour pouvoir frapper plus loin derrière la ligne de front.
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La Russie a affirmé, samedi 4 mai, avoir abattu dans la nuit quatre missiles ATACMS au-dessus de la péninsule de Crimée annexée. Le ministère de la Défense a déclaré avoir “foilé” une attaque nocturne ukrainienne de “missiles opérationnels et tactiques”sans préciser si ces missiles ou la chute de leurs débris avaient causé des dégâts.
En avril, Washington a annoncé avoir envoyé ces missiles à l’Ukraine, qui en faisait la demande depuis longtemps pour pouvoir frapper plus loin derrière la ligne de front. Kiev a utilisé des missiles américains ATACMS contre la Russie pour la première fois en octobre, mais ceux envoyés récemment ont une portée plus longue, atteignant une distance allant jusqu’à 300 km.
L’Ukraine cherchait à s’en procurer afin de frapper les routes d’approvisionnement russes, les entrepôts ou les QG militaires plus éloignés de la ligne de front. Le Kremlin a toutefois assuré que cette nouvelle livraison ne changerait rien au conflit.