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Durée de la vidéo : 1 min
A partir du 1er juillet, les grandes marques devront indiquer les produits concernés par la « Shrinkflation ». Ce procédé, jugé trompeur, consiste à réduire la quantité d’un produit sans changer son prix.
L’obligation entrera en vigueur le 1er juillet. Les supermarchés devront installer des avis dans leurs rayons pour indiquer les produits dont les quantités ont été réduites. Le phénomène de « Shrinkflation » est devenu courant ces deux dernières années en raison de l’inflation des produits alimentaires. Les fabricants réduisent la quantité d’un produit dans son emballage, mais pas son prix. Pour lutter contre cette technique jugée trompeuse par les associations de consommateurs, le gouvernement a pris un décret obligeant les grandes surfaces à identifier les articles concernés.
Des amendes de 3 000 à 15 000 euros
Le message doit apparaître directement sur l’emballage ou sur une étiquette apposée ou placée à proximité du produit, de manière visible et lisible. Il doit rester en place pendant deux mois à partir du moment où sa quantité a diminué sans que son prix ne baisse. En cas de manquement, le décret prévoit une amende administrative dont le montant peut atteindre 3 000 euros pour une personne physique et 15 000 euros pour une personne morale.
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A partir du 1er juillet, les grandes marques devront indiquer les produits concernés par la « Shrinkflation ». Ce procédé, jugé trompeur, consiste à réduire la quantité d’un produit sans changer son prix.
L’obligation entrera en vigueur le 1er juillet. Les supermarchés devront installer des avis dans leurs rayons pour indiquer les produits dont les quantités ont été réduites. Le phénomène de « Shrinkflation » est devenu courant ces deux dernières années en raison de l’inflation des produits alimentaires. Les fabricants réduisent la quantité d’un produit dans son emballage, mais pas son prix. Pour lutter contre cette technique jugée trompeuse par les associations de consommateurs, le gouvernement a pris un décret obligeant les grandes surfaces à identifier les articles concernés.
Des amendes de 3 000 à 15 000 euros
Le message doit apparaître directement sur l’emballage ou sur une étiquette apposée ou placée à proximité du produit, de manière visible et lisible. Il doit rester en place pendant deux mois à partir du moment où sa quantité a diminué sans que son prix ne baisse. En cas de manquement, le décret prévoit une amende administrative dont le montant peut atteindre 3 000 euros pour une personne physique et 15 000 euros pour une personne morale.