Publié
Durée de la vidéo : 3 minutes
Les JO de Paris pourraient battre des records de tentatives de cyberattaques. Ils pourraient être la cible de pirates informatiques, pour des raisons économiques et politiques.
Quel que soit leur sport ou leur nationalité, les athlètes olympiques ont tous un point commun sur le terrain : ils sont très dépendants des ordinateurs. Tableau d’affichage, éclairage, enceintes, caméras de télévision : des objets connectés et donc hackables. Dans l’ombre, les ingénieurs surveillent tout. Une seule infiltration peut mettre en danger toute une compétition.
Un nombre exponentiel d’attaques
Ces équipes peuvent, à l’aide d’un programme sur clé USB, mener l’enquête. Nombreux sont ceux qui veulent les Jeux : des États en conflit avec la France, des groupes criminels et même des militants politiques. Les cybermenaces sont surveillées par une tour de contrôle numérique dont la localisation est tenue secrète. Les Jeux olympiques ont déjà été attaqués et perturbés : en 2008 à Pékin, à Rio en 216 ou encore à P’yŏngch’ang en 2018. Autre inquiétude : le nombre d’attentats est exponentiel. Il y en avait 450 millions à Tokyo, et peut-être 4 milliards à Paris. Les autorités se veulent néanmoins rassurantes. Il y a quelques mois, la billetterie de Paris 2024 a été la cible de hackers.
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Les JO de Paris pourraient battre des records de tentatives de cyberattaques. Ils pourraient être la cible de pirates informatiques, pour des raisons économiques et politiques.
Quel que soit leur sport ou leur nationalité, les athlètes olympiques ont tous un point commun sur le terrain : ils sont très dépendants des ordinateurs. Tableau d’affichage, éclairage, enceintes, caméras de télévision : des objets connectés et donc hackables. Dans l’ombre, les ingénieurs surveillent tout. Une seule infiltration peut mettre en danger toute une compétition.
Un nombre exponentiel d’attaques
Ces équipes peuvent, à l’aide d’un programme sur clé USB, mener l’enquête. Nombreux sont ceux qui veulent les Jeux : des États en conflit avec la France, des groupes criminels et même des militants politiques. Les cybermenaces sont surveillées par une tour de contrôle numérique dont la localisation est tenue secrète. Les Jeux olympiques ont déjà été attaqués et perturbés : en 2008 à Pékin, à Rio en 216 ou encore à P’yŏngch’ang en 2018. Autre inquiétude : le nombre d’attentats est exponentiel. Il y en avait 450 millions à Tokyo, et peut-être 4 milliards à Paris. Les autorités se veulent néanmoins rassurantes. Il y a quelques mois, la billetterie de Paris 2024 a été la cible de hackers.