Il est 19 heures, il pleut dehors, mais le plus célèbre séparatiste catalan arrive enfin, « dans le rôle de visionnaire des peuples élus, devant un demi-millier d’apôtres aux yeux grands ouverts et pétillants, des gens qui joignaient les mains devant l’apparition de leur messie de l’unilatéralisme (en référence, ici, à l’unilatéralisme indépendance de la Catalogne) », décrire abc.
Dans la rédaction du quotidien conservateur espagnol, Carles Puigdemont est probablement l’homme politique le plus critiqué. Ainsi, lorsqu’il s’agit de discuter de “fugitif”, comme il l’appelle, le journal madrilène utilise l’ironie et la métaphore.
C’est encore une fois le cas sous la plume d’un maître en la matière, Chapu Apaolaza, qui n’a rien manqué d’un des meetings que Puigdemont, tête de liste de son parti, Junts (centre indépendantiste droit), pour le catalan élections régionales du 12 mai, s’organise presque quotidiennement depuis le 25 avril, non pas en Catalogne, mais dans le département français des Pyrénées-Orientales, à Argelès-sur-Mer.
A chaque grand-messe, « des centaines de fidèles » traverser la frontière de l’Espagne vers la France, en voiture et en bus affrétés par Junts, “pour assister au culte”, railleries ABC. « Et comme les voyages génèrent de la pollution (…), le parti s’engage à réduire l’empreinte environnementale »
Il est 19 heures, il pleut dehors, mais le plus célèbre séparatiste catalan arrive enfin, « dans le rôle de visionnaire des peuples élus, devant un demi-millier d’apôtres aux yeux grands ouverts et pétillants, des gens qui joignaient les mains devant l’apparition de leur messie de l’unilatéralisme (en référence, ici, à l’unilatéralisme indépendance de la Catalogne) », décrire abc.
Dans la rédaction du quotidien conservateur espagnol, Carles Puigdemont est probablement l’homme politique le plus critiqué. Ainsi, lorsqu’il s’agit de discuter de “fugitif”, comme il l’appelle, le journal madrilène utilise l’ironie et la métaphore.
C’est encore une fois le cas sous la plume d’un maître en la matière, Chapu Apaolaza, qui n’a rien manqué d’un des meetings que Puigdemont, tête de liste de son parti, Junts (centre indépendantiste droit), pour le catalan élections régionales du 12 mai, s’organise presque quotidiennement depuis le 25 avril, non pas en Catalogne, mais dans le département français des Pyrénées-Orientales, à Argelès-sur-Mer.
A chaque grand-messe, « des centaines de fidèles » traverser la frontière de l’Espagne vers la France, en voiture et en bus affrétés par Junts, “pour assister au culte”, railleries ABC. « Et comme les voyages génèrent de la pollution (…), le parti s’engage à réduire l’empreinte environnementale »