Fait rarissime, cette mobilisation ne remet pas en cause l’ouverture ou la tenue du festival lui-même, mais pourrait le perturber, selon le collectif à l’origine de l’appel.
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Mise à jour
Temps de lecture : 1 min
A une semaine de l’ouverture du plus grand événement cinématographique français, le Festival de Cannes, les travailleurs du cinéma appellent à la grève. Baptisé « Sous les écrans, les déchets », le collectif a lancé lundi 6 mai un appel. “de tous les salariés du Festival de Cannes et des sections parallèles” visant à “déranger”.
Rarissime, cette mobilisation ne remet pas en cause l’ouverture ou la tenue du festival lui-même, a indiqué à l’AFP un porte-parole du collectif. L’objectif n’est pas de nuire aux films qui seront présentés, mais une grève pourrait “perturber l’événement”, a-t-elle déclaré. De son côté, l’organisation du festival n’a pas encore réagi, rapporte l’Agence France-Presse.
Dans son communiqué, le collectif met en garde contre « une précarité croissante » travailleurs du secteur du cinéma, soulignant que « Les récentes réformes de l’assurance chômage (…) durcissent les règles d’indemnisation (…) ». Et ce, pendant que ces salariés alternent « missions de courte durée avec périodes de chômage » sans que ces activités relèvent du régime de l’exécution intermittente, déplore le communiqué.
Fait rarissime, cette mobilisation ne remet pas en cause l’ouverture ou la tenue du festival lui-même, mais pourrait le perturber, selon le collectif à l’origine de l’appel.
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A une semaine de l’ouverture du plus grand événement cinématographique français, le Festival de Cannes, les travailleurs du cinéma appellent à la grève. Baptisé « Sous les écrans, les déchets », le collectif a lancé lundi 6 mai un appel. “de tous les salariés du Festival de Cannes et des sections parallèles” visant à “déranger”.
Rarissime, cette mobilisation ne remet pas en cause l’ouverture ou la tenue du festival lui-même, a indiqué à l’AFP un porte-parole du collectif. L’objectif n’est pas de nuire aux films qui seront présentés, mais une grève pourrait “perturber l’événement”, a-t-elle déclaré. De son côté, l’organisation du festival n’a pas encore réagi, rapporte l’Agence France-Presse.
Dans son communiqué, le collectif met en garde contre « une précarité croissante » travailleurs du secteur du cinéma, soulignant que « Les récentes réformes de l’assurance chômage (…) durcissent les règles d’indemnisation (…) ». Et ce, pendant que ces salariés alternent « missions de courte durée avec périodes de chômage » sans que ces activités relèvent du régime de l’exécution intermittente, déplore le communiqué.