“Apostrophes”, “Bouillon de culture”, “Dicos d’or” “Double Je”… Pendant plus de trente ans, Bernard Pivot a imposé la culture à la télévision, initiant des générations entières à la littérature et luttant pour la langue française. Depuis l’annonce de son décès lundi, les hommages, du monde de la télévision et de la littérature, se multiplient. Anthologie.
“Il nous a rendus intelligents”
Pour Jean-Pierre Foucault, Bernard Pivot « a su nous faire aimer les livres, les écrivains ! La joie de le regarder à la télévision… il nous a rendus intelligents, nous a mis à sa portée”, a-t-il écrit dans un tweet.
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“L’homme qui nous a fait aimer les livres”
Même tristesse du côté de Stéphane Bern : le présentateur salue « l’homme qui nous a fait aimer les livres » et celui qui a été « toujours joyeux, drôle, moqueur et infiniment bon ».
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“Son appétit littéraire n’a jamais été satisfait”
Jacques Attali salue le « si merveilleux, l’irremplaçable, et jamais remplacé, Bernard Pivot ». “Il aimait les livres avec enthousiasme, comme la nourriture, sauf que son appétit littéraire n’était jamais rassasié.”
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« Un pont gigantesque »
LE romancier franco-congolais Alain Mabanckou voit en Bernard Pivot « un pont gigantesque ». « La littérature subit une immense perte. Il fait, à mes yeux, un de ces médiateurs pour qui je dirais qu’en Europe aussi un vieillard qui meurt est une bibliothèque qui brûle», écrit-il en référence à cette formule souvent appliquée à l’Afrique.
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