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Mise à jour
Durée de la vidéo : 1 min
Le Premier ministre Gabriel Attal a soutenu l’idée d’une semaine de travail de quatre jours, sans réduction du temps de travail, dès son arrivée à Matignon. Un dispositif qui divise les Français.
Dans un atelier de l’Isère, des ouvriers confectionnent des chaussures cousues main du lundi au jeudi. Ils travaillent 35 heures par semaine pendant quatre jours au lieu de cinq. Une formule largement plébiscitée par ces salariés. « On peut profiter un peu plus avec les rencontres du vendredi avec les enfants »remarque un employé qui met en avant le “confort” trouvé. Selon un autre, le travail s’étale sur les premiers jours de la semaine.
Les salariés craignent des journées trop longues
Cependant, ce système est loin de convenir à tous les travailleurs. Selon une nouvelle étude du CREDOC, de nombreuses personnes actives hésitent à changer de rythme. Par exemple, 33 % d’entre eux craignent la fatigue liée aux journées plus longues. Des journées plus longues qui peuvent également signifier de futurs problèmes de garde d’enfants pour 37 % des parents de jeunes enfants. Ce système pourrait également exclure les groupes les plus vulnérables, comme les personnes handicapées et les personnes âgées.
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Le Premier ministre Gabriel Attal a soutenu l’idée d’une semaine de travail de quatre jours, sans réduction du temps de travail, dès son arrivée à Matignon. Un dispositif qui divise les Français.
Dans un atelier de l’Isère, des ouvriers confectionnent des chaussures cousues main du lundi au jeudi. Ils travaillent 35 heures par semaine pendant quatre jours au lieu de cinq. Une formule largement plébiscitée par ces salariés. « On peut profiter un peu plus avec les rencontres du vendredi avec les enfants »remarque un employé qui met en avant le “confort” trouvé. Selon un autre, le travail s’étale sur les premiers jours de la semaine.
Les salariés craignent des journées trop longues
Cependant, ce système est loin de convenir à tous les travailleurs. Selon une nouvelle étude du CREDOC, de nombreuses personnes actives hésitent à changer de rythme. Par exemple, 33 % d’entre eux craignent la fatigue liée aux journées plus longues. Des journées plus longues qui peuvent également signifier de futurs problèmes de garde d’enfants pour 37 % des parents de jeunes enfants. Ce système pourrait également exclure les groupes les plus vulnérables, comme les personnes handicapées et les personnes âgées.