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Mise à jour
Durée de la vidéo : 3 minutes
Lors d’une manifestation pro-palestinienne devant Sciences Po, des manifestants brandissaient des mains peintes en rouge. Pour certains, ils font référence au massacre des Israéliens.
Des étudiants de Sciences Po ont brandi leurs mains peintes en rouge lors d’une manifestation palestinienne le 26 avril, qui a suscité une polémique. Sur les réseaux sociaux, les critiques affluent. Pour le designer Joann Sfar, ce symbole est celui “le massacre à mains nues de Yosef Avrahami et Vadim Norzhich”. Cette affirmation est reprise par de nombreux témoignages. Ces déclarations font référence à un événement survenu le 12 octobre 2000, lors de la deuxième Intifada. Deux soldats israéliens se rencontrent à Ramallah, en territoire palestinien.
«Nous n’étions pas au courant»
Ils sont emmenés au commissariat, mais des gens s’introduisent par effraction dans le bâtiment. Les réservistes sont assassinés et l’un des corps est lynché par la foule. Un homme est photographié les mains pleines de sang, devenant le symbole de ces meurtres. Les étudiants de Sciences Po faisaient-ils référence à cet événement ? “Nous n’avions pas connaissance de ce symbole, nous l’avons appris plus tard”explique Hubert Launois, membre du comité Palestine sciences Po.
“C’est un symbole militant qui a été utilisé pour beaucoup de causes, rien de plus”, ajoute Sophie, membre du comité Palestine Sciences Po. Il a ainsi été utilisé par des militants écologistes. Le geste a même été reproduit par des familles d’otages israéliens.
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Lors d’une manifestation pro-palestinienne devant Sciences Po, des manifestants brandissaient des mains peintes en rouge. Pour certains, ils font référence au massacre des Israéliens.
Des étudiants de Sciences Po ont brandi leurs mains peintes en rouge lors d’une manifestation palestinienne le 26 avril, qui a suscité une polémique. Sur les réseaux sociaux, les critiques affluent. Pour le designer Joann Sfar, ce symbole est celui “le massacre à mains nues de Yosef Avrahami et Vadim Norzhich”. Cette affirmation est reprise par de nombreux témoignages. Ces déclarations font référence à un événement survenu le 12 octobre 2000, lors de la deuxième Intifada. Deux soldats israéliens se rencontrent à Ramallah, en territoire palestinien.
«Nous n’étions pas au courant»
Ils sont emmenés au commissariat, mais des gens s’introduisent par effraction dans le bâtiment. Les réservistes sont assassinés et l’un des corps est lynché par la foule. Un homme est photographié les mains pleines de sang, devenant le symbole de ces meurtres. Les étudiants de Sciences Po faisaient-ils référence à cet événement ? “Nous n’avions pas connaissance de ce symbole, nous l’avons appris plus tard”explique Hubert Launois, membre du comité Palestine sciences Po.
“C’est un symbole militant qui a été utilisé pour beaucoup de causes, rien de plus”, ajoute Sophie, membre du comité Palestine Sciences Po. Il a ainsi été utilisé par des militants écologistes. Le geste a même été reproduit par des familles d’otages israéliens.