«Notre plus gros problème en ce moment, c’est au Canada» » a clamé le chef de la diplomatie indienne, faisant référence au séparatisme sikh. Lors d’un discours prononcé samedi à Bhubaneswar, cité par Thé Globe et Mail par l’intermédiaire de l’agence Presse Canadienne, Subrahmanyam Jaishankar ainsi « a réitéré l’insistance de son ministère pour qu’Ottawa permette aux éléments criminels d’opérer au Canada et de s’affilier aux séparatistes sikhs. »
Subrahmanyam Jaishankar réagissait à l’arrestation, le 3 mai, dans l’État canadien de l’Alberta, de Karanpreet Singh, Kamalpreet Singh et Karan Brar. Les trois hommes, qui résident au Canada depuis plusieurs années, sont accusés de meurtre avec préméditation et de complot en lien avec la mort par balle du séparatiste sikh Hardeep Singh Nijjar, dans la province voisine de la Colombie-Britannique, en juin dernier. Les autorités canadiennes ont également annoncé, souligne le Temps de l’Hindoustan, celui-là dans
«Notre plus gros problème en ce moment, c’est au Canada» » a clamé le chef de la diplomatie indienne, faisant référence au séparatisme sikh. Lors d’un discours prononcé samedi à Bhubaneswar, cité par Thé Globe et Mail par l’intermédiaire de l’agence Presse Canadienne, Subrahmanyam Jaishankar ainsi « a réitéré l’insistance de son ministère pour qu’Ottawa permette aux éléments criminels d’opérer au Canada et de s’affilier aux séparatistes sikhs. »
Subrahmanyam Jaishankar réagissait à l’arrestation, le 3 mai, dans l’État canadien de l’Alberta, de Karanpreet Singh, Kamalpreet Singh et Karan Brar. Les trois hommes, qui résident au Canada depuis plusieurs années, sont accusés de meurtre avec préméditation et de complot en lien avec la mort par balle du séparatiste sikh Hardeep Singh Nijjar, dans la province voisine de la Colombie-Britannique, en juin dernier. Les autorités canadiennes ont également annoncé, souligne le Temps de l’Hindoustan, celui-là dans