Ce lundi soir en conférence de presse, le président du LOSC a affirmé que son équipe “a pris un train en pleine face”. Les Nordistes ont souffert de l’enthousiasme lyonnais dans les dernières minutes pour s’incliner (3-4) à domicile.
«On a pris un train en plein visage»a admis Olivier Létang, président du Losc, renversé à domicile par Lyon (4-3), ce lundi lors de la 32e journée de Ligue 1. Malgré une avance de deux buts à la mi-temps (2-0) puis un nouvel avantage en A la 85e minute (3-2), le LOSC s’effondre, pris dans le raz-de-marée lyonnais, manquant l’occasion de monter sur le podium du championnat.
“On s’est pris au piège, notamment avec le scénario, a murmuré Olivier Létang après la rencontre. En seconde période, nous avons manqué de contrôle, mais nous avons eu l’occasion de marquer et de mener 3-2 jusqu’à la 87ème minute avec cinq défenseurs dont trois centraux. C’est un scénario difficile et cruel, mais dans le sport de haut niveau, il n’y a pas de place pour les faibles. Le seul mot d’ordre est de remobiliser tout le monde : il nous reste encore deux matches à gagner.» Pour espérer décrocher un ticket direct pour la Ligue des champions, Lille devra sans doute s’imposer à Nantes puis à domicile contre Nice.
Deux coachs, deux discours
Auteur du changement (Alexsandro, 76e) qui a peut-être précipité la chute de son équipe, l’entraîneur Paulo Fonseca a assumé ses choix : « Je pense que c’était la meilleure option que de faire appel à un défenseur supplémentaire. Je pensais que si nous n’avions pas le ballon, l’entrée d’Alexsandro nous permettrait de mieux défendre. J’assume la responsabilité de ce changement, de ces choix et de ce résultat.
Son homologue lyonnais Pierre Sage s’est réjoui de l’attitude de ses joueurs. “On applique vraiment le proverbe tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir”, a-t-il commenté. On l’a vécu en tant que club par rapport au classement lors de notre annonce en Ligue 2. A la mi-temps, on s’est dit qu’on n’avait pas le droit de baisser les bras. Les joueurs avaient les ressources mentales pour le faire et surtout la capacité tactique pour déséquilibrer un bloc bas en attaque placé de manière différente et sur trois buts.
Ce lundi soir en conférence de presse, le président du LOSC a affirmé que son équipe “a pris un train en pleine face”. Les Nordistes ont souffert de l’enthousiasme lyonnais dans les dernières minutes pour s’incliner (3-4) à domicile.
«On a pris un train en plein visage»a admis Olivier Létang, président du Losc, renversé à domicile par Lyon (4-3), ce lundi lors de la 32e journée de Ligue 1. Malgré une avance de deux buts à la mi-temps (2-0) puis un nouvel avantage en A la 85e minute (3-2), le LOSC s’effondre, pris dans le raz-de-marée lyonnais, manquant l’occasion de monter sur le podium du championnat.
“On s’est pris au piège, notamment avec le scénario, a murmuré Olivier Létang après la rencontre. En seconde période, nous avons manqué de contrôle, mais nous avons eu l’occasion de marquer et de mener 3-2 jusqu’à la 87ème minute avec cinq défenseurs dont trois centraux. C’est un scénario difficile et cruel, mais dans le sport de haut niveau, il n’y a pas de place pour les faibles. Le seul mot d’ordre est de remobiliser tout le monde : il nous reste encore deux matches à gagner.» Pour espérer décrocher un ticket direct pour la Ligue des champions, Lille devra sans doute s’imposer à Nantes puis à domicile contre Nice.
Deux coachs, deux discours
Auteur du changement (Alexsandro, 76e) qui a peut-être précipité la chute de son équipe, l’entraîneur Paulo Fonseca a assumé ses choix : « Je pense que c’était la meilleure option que de faire appel à un défenseur supplémentaire. Je pensais que si nous n’avions pas le ballon, l’entrée d’Alexsandro nous permettrait de mieux défendre. J’assume la responsabilité de ce changement, de ces choix et de ce résultat.
Son homologue lyonnais Pierre Sage s’est réjoui de l’attitude de ses joueurs. “On applique vraiment le proverbe tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir”, a-t-il commenté. On l’a vécu en tant que club par rapport au classement lors de notre annonce en Ligue 2. A la mi-temps, on s’est dit qu’on n’avait pas le droit de baisser les bras. Les joueurs avaient les ressources mentales pour le faire et surtout la capacité tactique pour déséquilibrer un bloc bas en attaque placé de manière différente et sur trois buts.