Les chambres d’hôtel “peuvent être un peu plus chères que pour un été normal” mais “pas plus chères qu’au moment des JO de Londres”, estime le président du Groupement des hôtelleries et restauration de France.
Publié
Temps de lecture : 1 min
« On a eu beaucoup de dénigrement envers les hôteliers, notamment sur le prix des chambres » pendant les Jeux olympiques de Paris, dénonce sur franceinfo Catherine Quérard, présidente du Groupement français de l’hôtellerie et de la restauration (GHR). “C’est la loi de l’offre et de la demande”explique-t-elle alors que le Premier ministre, Gabriel Attal, a réuni mardi 7 mai un Comité interministériel du tourisme.
Chambres d’hôtel “sont peut-être légèrement plus chers que pour un été normal” mais “pas plus cher qu’à l’époque des JO de Londres”. Selon elle, il y a “entre 50 et 80% d’écart entre le prix d’une chambre normale à la même période et le prix actuel” pratiqué à l’occasion de Paris 2024.
« Il y a encore de bonnes affaires à faire »
Cependant, “Comme aujourd’hui les hôtels ne sont pas complets, il y a encore de bonnes affaires à faire.” “Il ne faut pas se contenter de regarder les sites de réservationelle explique, il faut aussi parfois appeler directement l’hôtelier, essayer de négocier”. « Intermédiation (passer par les plateformes) ça coûte aussi aux hôteliers, il ne faut pas l’oublier”elle explique.
A deux mois de l’événement, le GHR, qui revendique 15 000 établissements, s’inquiète surtout des difficultés de recrutement, “un petit point d’inquiétude”. Il reste encore des postes à pourvoir pour travailler dans l’hôtellerie-restauration “pendant cette magnifique période”.
Les chambres d’hôtel “peuvent être un peu plus chères que pour un été normal” mais “pas plus chères qu’au moment des JO de Londres”, estime le président du Groupement des hôtelleries et restauration de France.
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« On a eu beaucoup de dénigrement envers les hôteliers, notamment sur le prix des chambres » pendant les Jeux olympiques de Paris, dénonce sur franceinfo Catherine Quérard, présidente du Groupement français de l’hôtellerie et de la restauration (GHR). “C’est la loi de l’offre et de la demande”explique-t-elle alors que le Premier ministre, Gabriel Attal, a réuni mardi 7 mai un Comité interministériel du tourisme.
Chambres d’hôtel “sont peut-être légèrement plus chers que pour un été normal” mais “pas plus cher qu’à l’époque des JO de Londres”. Selon elle, il y a “entre 50 et 80% d’écart entre le prix d’une chambre normale à la même période et le prix actuel” pratiqué à l’occasion de Paris 2024.
« Il y a encore de bonnes affaires à faire »
Cependant, “Comme aujourd’hui les hôtels ne sont pas complets, il y a encore de bonnes affaires à faire.” “Il ne faut pas se contenter de regarder les sites de réservationelle explique, il faut aussi parfois appeler directement l’hôtelier, essayer de négocier”. « Intermédiation (passer par les plateformes) ça coûte aussi aux hôteliers, il ne faut pas l’oublier”elle explique.
A deux mois de l’événement, le GHR, qui revendique 15 000 établissements, s’inquiète surtout des difficultés de recrutement, “un petit point d’inquiétude”. Il reste encore des postes à pourvoir pour travailler dans l’hôtellerie-restauration “pendant cette magnifique période”.