L’année précédente, l’autorisation de ce rassemblement annuel dans les rues de Paris avait suscité une vive polémique.
Publié
Mise à jour
Temps de lecture : 1 min
L’ultra-droite ne défilera pas le 11 mai dans les rues de Paris. Un rassemblement annuel, organisé par le Comité du 9 mai pour commémorer l’anniversaire de la mort accidentelle, en 1994, du militant d’extrême droite Sébastien Deyzieu, a fait cette année l’objet d’une “interdiction totale”a informé la préfecture de police mardi 7 mai à l’AFP, citant un arrêté signé lundi.
Autorisée en 2023, la manifestation a suscité une vive polémique alors que quelque 600 militants d’extrême droite, pour la plupart vêtus de noir et le visage caché, ont défilé dans les rues de Paris, brandissant des drapeaux aux croix celtiques et scandant « Révolution de la jeunesse européenne »le slogan du GUD (Union Defence Group).
En réaction à la polémique, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a demandé aux préfets d’interdire toutes les manifestations et rassemblements d’ultra droite. A Paris, le tribunal administratif a depuis suspendu plusieurs fois au nom de la liberté de manifester des arrêtés d’interdiction émis par le préfet de police, Laurent Nuñez.
L’année précédente, l’autorisation de ce rassemblement annuel dans les rues de Paris avait suscité une vive polémique.
Publié
Mise à jour
Temps de lecture : 1 min
L’ultra-droite ne défilera pas le 11 mai dans les rues de Paris. Un rassemblement annuel, organisé par le Comité du 9 mai pour commémorer l’anniversaire de la mort accidentelle, en 1994, du militant d’extrême droite Sébastien Deyzieu, a fait cette année l’objet d’une “interdiction totale”a informé la préfecture de police mardi 7 mai à l’AFP, citant un arrêté signé lundi.
Autorisée en 2023, la manifestation a suscité une vive polémique alors que quelque 600 militants d’extrême droite, pour la plupart vêtus de noir et le visage caché, ont défilé dans les rues de Paris, brandissant des drapeaux aux croix celtiques et scandant « Révolution de la jeunesse européenne »le slogan du GUD (Union Defence Group).
En réaction à la polémique, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a demandé aux préfets d’interdire toutes les manifestations et rassemblements d’ultra droite. A Paris, le tribunal administratif a depuis suspendu plusieurs fois au nom de la liberté de manifester des arrêtés d’interdiction émis par le préfet de police, Laurent Nuñez.