Publié
Durée de la vidéo : 3 minutes
A l’approche des Jeux olympiques, la police traque les faux taxis. Ces derniers pratiquent des tarifs excessivement Ă©levĂ©s, notamment aux touristes.
Devant les gares ou les aĂ©roports, des taxis illĂ©gaux ont pour objectif de piĂ©ger et d’arnaquer les touristes arrivant Ă Paris. Sur les rĂ©seaux sociaux, les tĂ©moignages de victimes de faux taxis se multiplient. A moins de trois mois des Jeux olympiques, les autoritĂ©s ont dĂ©cidĂ© de rĂ©agir. L’unitĂ© Boer est spĂ©cialisĂ©e dans la lutte contre les taxis illĂ©gaux. Chaque jour, un policier se mĂŞle au flux des voyageurs pour retrouver les escrocs.
Une cinquantaine d’interpellés chaque mois
Devant l’aĂ©roport, un vĂ©hicule est suspect. Le chauffeur transportait un couple japonais alors qu’il ne possède pas de permis professionnel. “Il utilise le compte de quelqu’un d’autre, peut-ĂŞtre un vrai professionnel du VTC”, explique le commandant Gilles Gravet, de l’unitĂ© Boer. Quelques minutes plus tard, une camionnette transportant des touristes britanniques Ă©tait arrĂŞtĂ©e. L’homme au volant n’a ni licence professionnelle, ni permis de conduire et son vĂ©hicule n’est pas assurĂ©. Chaque mois, une cinquantaine de faux taxis sont arrĂŞtĂ©s.
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A l’approche des Jeux olympiques, la police traque les faux taxis. Ces derniers pratiquent des tarifs excessivement Ă©levĂ©s, notamment aux touristes.
Devant les gares ou les aĂ©roports, des taxis illĂ©gaux ont pour objectif de piĂ©ger et d’arnaquer les touristes arrivant Ă Paris. Sur les rĂ©seaux sociaux, les tĂ©moignages de victimes de faux taxis se multiplient. A moins de trois mois des Jeux olympiques, les autoritĂ©s ont dĂ©cidĂ© de rĂ©agir. L’unitĂ© Boer est spĂ©cialisĂ©e dans la lutte contre les taxis illĂ©gaux. Chaque jour, un policier se mĂŞle au flux des voyageurs pour retrouver les escrocs.
Une cinquantaine d’interpellés chaque mois
Devant l’aĂ©roport, un vĂ©hicule est suspect. Le chauffeur transportait un couple japonais alors qu’il ne possède pas de permis professionnel. “Il utilise le compte de quelqu’un d’autre, peut-ĂŞtre un vrai professionnel du VTC”, explique le commandant Gilles Gravet, de l’unitĂ© Boer. Quelques minutes plus tard, une camionnette transportant des touristes britanniques Ă©tait arrĂŞtĂ©e. L’homme au volant n’a ni licence professionnelle, ni permis de conduire et son vĂ©hicule n’est pas assurĂ©. Chaque mois, une cinquantaine de faux taxis sont arrĂŞtĂ©s.