Publié
Durée de la vidéo : 4 minutes
La crainte d’une sécheresse persiste dans le sud de la France et même en Espagne. Un phénomène également critique au Panama, le canal par lequel transitent 40 % des conteneurs à destination des Etats-Unis fonctionne au ralenti.
C’est une autoroute qui relie l’Atlantique au Pacifique. Utilisé quotidiennement par les géants du transport maritime, c’est un passage stratégique dont l’activité est aujourd’hui menacée par une sécheresse historique. L’écluse de Panama vous ouvre les portes de l’océan. D’immenses bassins se remplissent de 200 millions de litres d’eau à chaque passage de navire, l’équivalent de la consommation quotidienne d’une ville comme Paris.
L’eau provient d’un lac artificiel
Il y a eu une pénurie d’eau ces derniers mois. Normalement, 40 navires sont autorisés à traverser chaque jour, mais au début de l’année, parfois seulement la moitié environ devait passer. Car le canal est alimenté par de l’eau douce puisée dans un lac artificiel situé entre les deux océans. Si le niveau du lac descend trop bas, les plus gros navires risquent de ne plus pouvoir le traverser. En réduisant le nombre de passages, le canal a économisé l’eau et évité ce scénario.
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La crainte d’une sécheresse persiste dans le sud de la France et même en Espagne. Un phénomène également critique au Panama, le canal par lequel transitent 40 % des conteneurs à destination des Etats-Unis fonctionne au ralenti.
C’est une autoroute qui relie l’Atlantique au Pacifique. Utilisé quotidiennement par les géants du transport maritime, c’est un passage stratégique dont l’activité est aujourd’hui menacée par une sécheresse historique. L’écluse de Panama vous ouvre les portes de l’océan. D’immenses bassins se remplissent de 200 millions de litres d’eau à chaque passage de navire, l’équivalent de la consommation quotidienne d’une ville comme Paris.
L’eau provient d’un lac artificiel
Il y a eu une pénurie d’eau ces derniers mois. Normalement, 40 navires sont autorisés à traverser chaque jour, mais au début de l’année, parfois seulement la moitié environ devait passer. Car le canal est alimenté par de l’eau douce puisée dans un lac artificiel situé entre les deux océans. Si le niveau du lac descend trop bas, les plus gros navires risquent de ne plus pouvoir le traverser. En réduisant le nombre de passages, le canal a économisé l’eau et évité ce scénario.