Si « chacun a droit à son opinion », la tête de liste PS-Place publique estime qu’« on ne va pas expulser des étudiants parce qu’ils manifestent ou participent ».
Raphaël Glucksmann a jugé mardi soir sur Europe 1 qu’il ne fallait pas expulser les étudiants pro-palestiniens de Sciences Po “parce qu’ils manifestent ou participent à des blocages”en disant « comprendre leur émotion ». “Nous n’allons pas expulser des étudiants parce qu’ils manifestent ou participent à des blocages, je ne suis pas du tout d’accord”il a expliqué, affirmant que « Chacun a droit à son opinion »tandis que son adversaire, la tête de liste François Xavier Bellamy, s’est rendu ce mardi sur le site de Sciences-po pour dénoncer ces blocages.
La police est encore intervenue dans la journée à deux reprises, devant les locaux historiques de Sciences Po Paris pour disperser des rassemblements pro-palestiniens. « Tant qu’il s’agit d’une mobilisation pour la paix et non pour la destruction de l’Etat d’Israël, cette mobilisation est parfaitement légitime »a jugé Raphaël Glucksmann, estimant que « Ce qui se passe aujourd’hui à Rafah est cataclysmique ».
« Cessez-le-feu et libération des otages »
« Ce qui se passe à Rafah est horrible d’un point de vue humanitaire. Il faut un cessez-le-feu et la libération des otages. »a-t-il poursuivi, jugeant que le gouvernement Netanyahu n’offrait pas « strictement aucune perspective pour les Palestiniens, depuis le début ». « Cela fait sept mois. Vous avez l’aide humanitaire qui est bloquée, vous avez une situation de famine, vous avez 35 000 morts, à un moment donné, il faut que ça s’arrête. »il a insisté. « Quelle est la justification d’un tel nombre de morts ?. Pour lui, le gouvernement israélien « cela cause évidemment un immense préjudice à la population civile palestinienne, mais aussi à l’avenir d’Israël ».
Si « chacun a droit à son opinion », la tête de liste PS-Place publique estime qu’« on ne va pas expulser des étudiants parce qu’ils manifestent ou participent ».
Raphaël Glucksmann a jugé mardi soir sur Europe 1 qu’il ne fallait pas expulser les étudiants pro-palestiniens de Sciences Po “parce qu’ils manifestent ou participent à des blocages”en disant « comprendre leur émotion ». “Nous n’allons pas expulser des étudiants parce qu’ils manifestent ou participent à des blocages, je ne suis pas du tout d’accord”il a expliqué, affirmant que « Chacun a droit à son opinion »tandis que son adversaire, la tête de liste François Xavier Bellamy, s’est rendu ce mardi sur le site de Sciences-po pour dénoncer ces blocages.
La police est encore intervenue dans la journée à deux reprises, devant les locaux historiques de Sciences Po Paris pour disperser des rassemblements pro-palestiniens. « Tant qu’il s’agit d’une mobilisation pour la paix et non pour la destruction de l’Etat d’Israël, cette mobilisation est parfaitement légitime »a jugé Raphaël Glucksmann, estimant que « Ce qui se passe aujourd’hui à Rafah est cataclysmique ».
« Cessez-le-feu et libération des otages »
« Ce qui se passe à Rafah est horrible d’un point de vue humanitaire. Il faut un cessez-le-feu et la libération des otages. »a-t-il poursuivi, jugeant que le gouvernement Netanyahu n’offrait pas « strictement aucune perspective pour les Palestiniens, depuis le début ». « Cela fait sept mois. Vous avez l’aide humanitaire qui est bloquée, vous avez une situation de famine, vous avez 35 000 morts, à un moment donné, il faut que ça s’arrête. »il a insisté. « Quelle est la justification d’un tel nombre de morts ?. Pour lui, le gouvernement israélien « cela cause évidemment un immense préjudice à la population civile palestinienne, mais aussi à l’avenir d’Israël ».