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Durée de la vidéo : 1 min
Candidat à un second mandat à la tête de la SNCF, Jean-Pierre Farandou sera finalement remplacé après les Jeux olympiques. Selon les syndicats, il pourrait ainsi payer l’accord de fin de carrière qui a déplu au gouvernement.
Jean-Pierre Farandou paie-t-il son accord avec les syndicats ferroviaires sur la fin de sa carrière ? Oui, selon Sud Rail notamment, pour qui le PDG de la SNCF sert de fusible au gouvernement. Selon l’exécutif, il s’agit d’une simple coïncidence de calendrier, puisque l’assemblée générale de la société ferroviaire doit se tenir le lundi 13 mai. Il n’en reste pas moins que l’accord signé par Jean-Pierre Farandou a suscité une polémique notamment à droite, car il a été critiqué pour avoir contourné la réforme des retraites.
Passer le flambeau après les JO
Mardi 7 mai, devant les sénateurs, Jean-Pierre Farandou, candidat à un second mandat à la tête de l’entreprise, a défendu son accord. Selon lui, son coût est raisonnable et rapporte des bénéfices à l’entreprise. Nommé en 2019, il était alors candidat à l’Élysée pour succéder à Guillaume Pepy. Jean-Pierre Farandou assurera l’intérim de la direction de la SNCF en attendant l’arrivée de son successeur.
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Candidat à un second mandat à la tête de la SNCF, Jean-Pierre Farandou sera finalement remplacé après les Jeux olympiques. Selon les syndicats, il pourrait ainsi payer l’accord de fin de carrière qui a déplu au gouvernement.
Jean-Pierre Farandou paie-t-il son accord avec les syndicats ferroviaires sur la fin de sa carrière ? Oui, selon Sud Rail notamment, pour qui le PDG de la SNCF sert de fusible au gouvernement. Selon l’exécutif, il s’agit d’une simple coïncidence de calendrier, puisque l’assemblée générale de la société ferroviaire doit se tenir le lundi 13 mai. Il n’en reste pas moins que l’accord signé par Jean-Pierre Farandou a suscité une polémique notamment à droite, car il a été critiqué pour avoir contourné la réforme des retraites.
Passer le flambeau après les JO
Mardi 7 mai, devant les sénateurs, Jean-Pierre Farandou, candidat à un second mandat à la tête de l’entreprise, a défendu son accord. Selon lui, son coût est raisonnable et rapporte des bénéfices à l’entreprise. Nommé en 2019, il était alors candidat à l’Élysée pour succéder à Guillaume Pepy. Jean-Pierre Farandou assurera l’intérim de la direction de la SNCF en attendant l’arrivée de son successeur.