Le projet prévoit la « récupération » d’une quarantaine d’animaux en Norvège pour les relâcher dans le massif vosgien.
Publié
Temps de lecture : 1 min
La préfecture des Vosges a autorisé lundi 15 avril par arrêté préfectoral une expérimentation visant à réintroduire le grand tétras, rapporte ce mardi France Bleu Sud Lorraine. Cet oiseau emblématique du massif est menacé, notamment à cause du réchauffement climatique et de l’essor du tourisme.
Le projet prévoit de « récupérer » une quarantaine d’animaux en Norvège. Ils seront ensuite relâchés sur le massif. Ce dispositif sera ensuite reconduit chaque année jusqu’en 2029. “Lors des comités de pilotage que nous tiendrons, nous pourrons savoir si nous poursuivons ou non ou si c’est un échec, auquel cas la situation serait très grave”indique la préfète des Vosges Valérie Michel-Moreaux.
Ce programme de réintroduction du grand tétras fait débat dans le département. Deux conseils scientifiques ont émis des avis défavorables à cette expérimentation, rapporte France Bleu Sud Lorraine. Selon eux, le réchauffement climatique ne garantit plus un habitat favorable à l’animal.
Le projet prévoit la « récupération » d’une quarantaine d’animaux en Norvège pour les relâcher dans le massif vosgien.
Publié
Temps de lecture : 1 min
La préfecture des Vosges a autorisé lundi 15 avril par arrêté préfectoral une expérimentation visant à réintroduire le grand tétras, rapporte ce mardi France Bleu Sud Lorraine. Cet oiseau emblématique du massif est menacé, notamment à cause du réchauffement climatique et de l’essor du tourisme.
Le projet prévoit de « récupérer » une quarantaine d’animaux en Norvège. Ils seront ensuite relâchés sur le massif. Ce dispositif sera ensuite reconduit chaque année jusqu’en 2029. “Lors des comités de pilotage que nous tiendrons, nous pourrons savoir si nous poursuivons ou non ou si c’est un échec, auquel cas la situation serait très grave”indique la préfète des Vosges Valérie Michel-Moreaux.
Ce programme de réintroduction du grand tétras fait débat dans le département. Deux conseils scientifiques ont émis des avis défavorables à cette expérimentation, rapporte France Bleu Sud Lorraine. Selon eux, le réchauffement climatique ne garantit plus un habitat favorable à l’animal.