Il n’y a plus de clubs français impliqués dans la compétition européenne masculine. Après Paris, raté mardi sa demi-finale retour de Ligue des champions, face à Dortmund, c’est au tour de Marseille d’échouer aux portes de la finale de la Ligue Europa. En Italie, l’équipe marseillaise s’est lourdement inclinée face à l’Atalanta Bergame avec des buts de Lookman, Ruggeri et Touré (3-0). La Dea affrontera le Bayer Leverkusen, vainqueur de l’AS Roma (4-2 au total) en finale de la Ligue Europa, le 22 mai à Dublin.
Ce que vous devez vous rappeler
- Le cador. Adémola Lookman.
On ne l’attendait pas forcément en attaque aux côtés de Scamacca et De Ketelaere et pourtant. Premier buteur de la soirée d’une frappe puissante du droit (30ee), puis passeur décisif sur le but de Ruggeri (52e), Lookman a réalisé le rêve européen des Italiens. L’international nigérian aurait même pu alourdir le score (34ee) s’il n’avait pas glissé à quelques encablures du gardien marseillais. Cauchemar des Marseillais, héros des Bergamasques, il est sans doute l’homme du match.
1-0, 30e. Servi au milieu par De Ketelaere, l’homme fort du match Ademola Lookman fixe la défense marseillaise et frappe du pied droit. Le ballon est dévié par Gigot et rentre dans le petit filet de Lopez.
2-0, 52e. Au retour des vestiaires, Matteo Ruggeri, l’ailier gauche de l’Atalanta, sort de son côté et entre en jeu. Il joue une-deux avec Lookman, et entre dans la surface marseillaise. L’Italien ouvre son pied droit et le ballon part dans la lucarne. Lopez, abandonné par ses défenseurs, ne peut rien.
3-0, 90e+4. Le temps additionnel est sur le point de se terminer et les Marseillais n’y croient plus vraiment. Après une touche anodine, El Bilal Touré accélère sur son côté gauche et se débarrasse de Balerdi. Le joueur de Dea enroule une frappe du pied droit qui se loge dans le filet opposé !
- La phrase. « Au Vélodrome, nous sommes des tigres et dehors, nous sommes des chats »a réagi l’entraîneur Jean-Louis Gasset, agacé par le manque d’agressivité de ses joueurs, directement au micro de Canal+.
- Le nombre. 1, le nombre de frappes cadrées pour l’OM. Un bien maigre bilan comparé aux 16 tirs dont 8 cadrés de l’Atalanta.
- Le tournant du match. Un tournant? Quel tournant ? Ce soir, une seule équipe existait en Lombardie, tant par l’intensité que par la justesse du jeu. Les Marseillais ont été surclassés par l’Atalanta, de bout en bout. Un long tunnel de 90 minutes qui laissera un goût amer à l’OM, pourtant séduisant à l’aller (1-1).
- Nutrisport. À l’échelle de notre indicateur sport-divertissement (A étant une rencontre exquise – comprenant du beau jeu, du climax et des rires –, D un match franchement ennuyeux), ce match nous divise. Si nous étions italiens, nous dirions sûrement « A ». L’Atalanta est en fête, en participant à la finale de la Ligue Europa, à la finale de la Coupe d’Italie et au Top 5 de la Serie A. ciliégie (cerise) sur le torta (gâteau), comme on dit dans le pays. Mais comme nous sommes français, et râleurs, nous dirons juste que la semaine a été longue en attribuant un petit « C », année après année.
- L’image.
Il n’y a plus de clubs français impliqués dans la compétition européenne masculine. Après Paris, raté mardi sa demi-finale retour de Ligue des champions, face à Dortmund, c’est au tour de Marseille d’échouer aux portes de la finale de la Ligue Europa. En Italie, l’équipe marseillaise s’est lourdement inclinée face à l’Atalanta Bergame avec des buts de Lookman, Ruggeri et Touré (3-0). La Dea affrontera le Bayer Leverkusen, vainqueur de l’AS Roma (4-2 au total) en finale de la Ligue Europa, le 22 mai à Dublin.
Ce que vous devez vous rappeler
- Le cador. Adémola Lookman.
On ne l’attendait pas forcément en attaque aux côtés de Scamacca et De Ketelaere et pourtant. Premier buteur de la soirée d’une frappe puissante du droit (30ee), puis passeur décisif sur le but de Ruggeri (52e), Lookman a réalisé le rêve européen des Italiens. L’international nigérian aurait même pu alourdir le score (34ee) s’il n’avait pas glissé à quelques encablures du gardien marseillais. Cauchemar des Marseillais, héros des Bergamasques, il est sans doute l’homme du match.
1-0, 30e. Servi au milieu par De Ketelaere, l’homme fort du match Ademola Lookman fixe la défense marseillaise et frappe du pied droit. Le ballon est dévié par Gigot et rentre dans le petit filet de Lopez.
2-0, 52e. Au retour des vestiaires, Matteo Ruggeri, l’ailier gauche de l’Atalanta, sort de son côté et entre en jeu. Il joue une-deux avec Lookman, et entre dans la surface marseillaise. L’Italien ouvre son pied droit et le ballon part dans la lucarne. Lopez, abandonné par ses défenseurs, ne peut rien.
3-0, 90e+4. Le temps additionnel est sur le point de se terminer et les Marseillais n’y croient plus vraiment. Après une touche anodine, El Bilal Touré accélère sur son côté gauche et se débarrasse de Balerdi. Le joueur de Dea enroule une frappe du pied droit qui se loge dans le filet opposé !
- La phrase. « Au Vélodrome, nous sommes des tigres et dehors, nous sommes des chats »a réagi l’entraîneur Jean-Louis Gasset, agacé par le manque d’agressivité de ses joueurs, directement au micro de Canal+.
- Le nombre. 1, le nombre de frappes cadrées pour l’OM. Un bien maigre bilan comparé aux 16 tirs dont 8 cadrés de l’Atalanta.
- Le tournant du match. Un tournant? Quel tournant ? Ce soir, une seule équipe existait en Lombardie, tant par l’intensité que par la justesse du jeu. Les Marseillais ont été surclassés par l’Atalanta, de bout en bout. Un long tunnel de 90 minutes qui laissera un goût amer à l’OM, pourtant séduisant à l’aller (1-1).
- Nutrisport. À l’échelle de notre indicateur sport-divertissement (A étant une rencontre exquise – comprenant du beau jeu, du climax et des rires –, D un match franchement ennuyeux), ce match nous divise. Si nous étions italiens, nous dirions sûrement « A ». L’Atalanta est en fête, en participant à la finale de la Ligue Europa, à la finale de la Coupe d’Italie et au Top 5 de la Serie A. ciliégie (cerise) sur le torta (gâteau), comme on dit dans le pays. Mais comme nous sommes français, et râleurs, nous dirons juste que la semaine a été longue en attribuant un petit « C », année après année.
- L’image.