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Mise à jour
Durée de la vidéo : 5 minutes
Les manifestations de soutien à Gaza se poursuivent à Malmö, en Suède, à l’approche de l’Eurovision samedi 11 mai. Invitée d’info 11/13, Oranie Abbes, enseignante-chercheuse, revient sur la polémique autour de la participation d’Israël.
Si les artistes s’apprêtent à monter sur la scène de l’Eurovision, la clameur prend de l’ampleur samedi 11 mai. Les manifestants continuent de se rassembler pour protester contre la participation de l’État d’Israël au concours de la chanson, en pleine guerre dans la bande de Gaza. Oranie Abbes, enseignante chercheuse au laboratoire CREAT, reconnaît que la tension est particulièrement vive à Malmö, en Suède, où se tiendra la finale le 11 mai au soir.
Les manifestants appellent au boycott du candidat israélien
“Néanmoins, nous avons connu d’autres éditions qui étaient tout aussi politiques (…) ce n’est pas quelque chose de complètement nouveau”, assure le spécialiste. Selon elle, les gens sont plus sensibles aux enjeux internationaux car ils peuvent obtenir des informations, notamment via les réseaux sociaux.
En 2022, la Russie a été exclue de la compétition après l’invasion de l’Ukraine. Face à la participation d’Israël, qui poursuit ses offensives dans l’enclave palestinienne, certains dénoncent une injustice. “Au départ, le concours Eurovision a été créé sur une motivation politique qui était l’union des peuples et l’abolition des stéréotypes”se souvient Oranie Abbes.
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Les manifestations de soutien à Gaza se poursuivent à Malmö, en Suède, à l’approche de l’Eurovision samedi 11 mai. Invitée d’info 11/13, Oranie Abbes, enseignante-chercheuse, revient sur la polémique autour de la participation d’Israël.
Si les artistes s’apprêtent à monter sur la scène de l’Eurovision, la clameur prend de l’ampleur samedi 11 mai. Les manifestants continuent de se rassembler pour protester contre la participation de l’État d’Israël au concours de la chanson, en pleine guerre dans la bande de Gaza. Oranie Abbes, enseignante chercheuse au laboratoire CREAT, reconnaît que la tension est particulièrement vive à Malmö, en Suède, où se tiendra la finale le 11 mai au soir.
Les manifestants appellent au boycott du candidat israélien
“Néanmoins, nous avons connu d’autres éditions qui étaient tout aussi politiques (…) ce n’est pas quelque chose de complètement nouveau”, assure le spécialiste. Selon elle, les gens sont plus sensibles aux enjeux internationaux car ils peuvent obtenir des informations, notamment via les réseaux sociaux.
En 2022, la Russie a été exclue de la compétition après l’invasion de l’Ukraine. Face à la participation d’Israël, qui poursuit ses offensives dans l’enclave palestinienne, certains dénoncent une injustice. “Au départ, le concours Eurovision a été créé sur une motivation politique qui était l’union des peuples et l’abolition des stéréotypes”se souvient Oranie Abbes.