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Durée de la vidéo : 2 minutes
Comme chaque année, le concours Lépine a distingué cette année l’invention jugée la plus utile et la plus pertinente. Pour cette édition, un prototype permettant aux personnes malvoyantes de mieux se positionner et de gagner en autonomie a été récompensé.
Il faut suivre un inventeur pour percevoir la révolution à venir. Rémi du Chalard a remporté le concours Lépine 2024. Il aide les malvoyants. Sur un écran de téléphone, on voit l’image perçue par leur cerveau grâce à un capteur placé sur des lunettes, relié à une ceinture. “La ceinture dessinera des images sur la peau du dos. Ils sont remplis de petites épingles qui vont jouer sur le sens du toucher pour transmettre les images“, il expliqua.
Améliorer le quotidien
Un jeune malvoyant a testé le prototype et, pour lui, c’était la promesse d’une autonomie retrouvée, sans canne blanche. “Quand il y avait des gens qui sortaient d’un immeuble, je pouvais m’arrêter pour qu’ils passent, donc c’est génial“, se réjouissait-il. Déjà en 1953, les inventeurs du concours s’inquiétaient du sort des malvoyants. Autre préoccupation récurrente depuis plus de 100 ans : se déplacer sur deux roues avec le moindre effort. Le concours Lépine représente l’espoir, pour chacun des inventeurs, d’améliorer le quotidien.
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Comme chaque année, le concours Lépine a distingué cette année l’invention jugée la plus utile et la plus pertinente. Pour cette édition, un prototype permettant aux personnes malvoyantes de mieux se positionner et de gagner en autonomie a été récompensé.
Il faut suivre un inventeur pour percevoir la révolution à venir. Rémi du Chalard a remporté le concours Lépine 2024. Il aide les malvoyants. Sur un écran de téléphone, on voit l’image perçue par leur cerveau grâce à un capteur placé sur des lunettes, relié à une ceinture. “La ceinture dessinera des images sur la peau du dos. Ils sont remplis de petites épingles qui vont jouer sur le sens du toucher pour transmettre les images“, il expliqua.
Améliorer le quotidien
Un jeune malvoyant a testé le prototype et, pour lui, c’était la promesse d’une autonomie retrouvée, sans canne blanche. “Quand il y avait des gens qui sortaient d’un immeuble, je pouvais m’arrêter pour qu’ils passent, donc c’est génial“, se réjouissait-il. Déjà en 1953, les inventeurs du concours s’inquiétaient du sort des malvoyants. Autre préoccupation récurrente depuis plus de 100 ans : se déplacer sur deux roues avec le moindre effort. Le concours Lépine représente l’espoir, pour chacun des inventeurs, d’améliorer le quotidien.