Environ 10 000 personnes ont participé à ce rassemblement non autorisé à Parnay, où un homme est décédé dimanche des suites d’un « arrêt cardiorespiratoire ».
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Mise à jour
Temps de lecture : 1 min
“Six plaintes” ont été déposées après la rave party dans le Maine-et-Loire au cours de laquelle un jeune homme est décédé dimanche 12 mai, indique sur franceinfo le préfet Philippe Chopin, qui rappelle que cette fête était “illégal”. Plusieurs constats ont également été dressés pour non-respect de l’arrêté préfectoral interdisant les rassemblements festifs pendant ce long week-end de l’Ascension et les bruits nocturnes, ajoute le préfet du Maine-et-Loire.
Une enquête est également ouverte “pour déterminer les causes du décès” du jeune homme. “Il y aura une autopsie, qui permettra d’établir si la personne était sous l’emprise de drogues”, précise le préfet. Ce jeune homme “a été pris de convulsions” vers 10h ce dimanche. Les pompiers, qui patrouillaient autour du site, se trouvaient à proximité et ont pu intervenir immédiatement. “Il a rapidement fait un arrêt cardiaque, l’ambulance est arrivée très vite mais malheureusement il n’a pas pu être réanimé”indique Philippe Chopin.
Au total durant cette rave party, “plus de 200 cas” ont été soignés par le poste médical avancé de la Croix Rouge et de la Protection Civile sur place et “11 personnes ont été évacuées vers l’hôpital de Saumur, avec des urgences relatives et dont l’état ne suscite pas d’inquiétude”. Dans ce domaine, “l’Etat a compensé la carence des organisateurs, qui, pour échapper aux poursuites judiciaires, ne se font pas connaître”, souligne le préfet.
Cette rave party non déclarée a lieu depuis jeudi matin dans un petit village proche de Saumur. Au plus fort de la fête samedi, le nombre de participants était estimé à environ 10 000. Les derniers fêtards quittent les lieux. Il y en a encore environ 1 500, selon le préfet.
Environ 10 000 personnes ont participé à ce rassemblement non autorisé à Parnay, où un homme est décédé dimanche des suites d’un « arrêt cardiorespiratoire ».
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“Six plaintes” ont été déposées après la rave party dans le Maine-et-Loire au cours de laquelle un jeune homme est décédé dimanche 12 mai, indique sur franceinfo le préfet Philippe Chopin, qui rappelle que cette fête était “illégal”. Plusieurs constats ont également été dressés pour non-respect de l’arrêté préfectoral interdisant les rassemblements festifs pendant ce long week-end de l’Ascension et les bruits nocturnes, ajoute le préfet du Maine-et-Loire.
Une enquête est également ouverte “pour déterminer les causes du décès” du jeune homme. “Il y aura une autopsie, qui permettra d’établir si la personne était sous l’emprise de drogues”, précise le préfet. Ce jeune homme “a été pris de convulsions” vers 10h ce dimanche. Les pompiers, qui patrouillaient autour du site, se trouvaient à proximité et ont pu intervenir immédiatement. “Il a rapidement fait un arrêt cardiaque, l’ambulance est arrivée très vite mais malheureusement il n’a pas pu être réanimé”indique Philippe Chopin.
Au total durant cette rave party, “plus de 200 cas” ont été soignés par le poste médical avancé de la Croix Rouge et de la Protection Civile sur place et “11 personnes ont été évacuées vers l’hôpital de Saumur, avec des urgences relatives et dont l’état ne suscite pas d’inquiétude”. Dans ce domaine, “l’Etat a compensé la carence des organisateurs, qui, pour échapper aux poursuites judiciaires, ne se font pas connaître”, souligne le préfet.
Cette rave party non déclarée a lieu depuis jeudi matin dans un petit village proche de Saumur. Au plus fort de la fête samedi, le nombre de participants était estimé à environ 10 000. Les derniers fêtards quittent les lieux. Il y en a encore environ 1 500, selon le préfet.